. Quatre siècles . ndiaCompany, de la Royal Insurance Company, régent de laBanque dAngleterre, naturalisé Anglais en 1760, et quenous retrouverons dans la visite que lui lit ConstancedAriens, en 1802. 3° Jean Philippe, mort en bas-âge. 4 Paul, né en 1758, à Laussane, entré le 3 mars 1776au service dAutriche, enseigne au régiment Langlois en1777, lieutenant en mai 1780, mort en 1782, après avoirlégué à sa mère tout son avoir : 266 florins 34 kreutzers. 5° Marie, née le 4 niai 1746, à Amsterdam, morte à St-Jean-de-Bruel, le i5 pluviôse an III, épousa à Amster-dam, en 1761, Antoin
. Quatre siècles . ndiaCompany, de la Royal Insurance Company, régent de laBanque dAngleterre, naturalisé Anglais en 1760, et quenous retrouverons dans la visite que lui lit ConstancedAriens, en 1802. 3° Jean Philippe, mort en bas-âge. 4 Paul, né en 1758, à Laussane, entré le 3 mars 1776au service dAutriche, enseigne au régiment Langlois en1777, lieutenant en mai 1780, mort en 1782, après avoirlégué à sa mère tout son avoir : 266 florins 34 kreutzers. 5° Marie, née le 4 niai 1746, à Amsterdam, morte à St-Jean-de-Bruel, le i5 pluviôse an III, épousa à Amster-dam, en 1761, Antoine-Liquier, fds de Jacques, avocatau Parlement de Toulouse, et dAntoinette Favier. CetAntoine, qui était le frère dAndré Liquier(), député aux (1) André Liquier était un des négociants les plus notables deMarseille à la fin de lancien régime, « universellement considéré,dit le philosophe de Bonald, pour ses vertus et ses talents. » Ilétait, en 1789, membre de la Chambre de commerce, sous la prési-. MARGARETHA VAN JEVER â i6i â Etats-Généraux de 1789 par lAssemblée de Marseille,était consul général de Hollande à Naples. Ils apparte-naient aune famille ancienne et notable duKouergue. 6° Marc Antoine, né en 174^, à Amsterdam ; cest luidont nous nous occuperons sous le nom de dAriens. 7° Cécile, qui épousa, en 1781, Ferdinand Rosset, sei-gneur dEchaudens et de Rochefort, quelle suivit dansson exil à Philadelphie, après léchec des idées libéralesen Suisse, 80 Henriette, née en 1755, qui légua sa fortune à sonfds adoptif, H. dAlbis. dence de lintendant, des Gallois delà Tour. Il obtint, en 1777, leprix du Concours de lAcadémie de Marseille avec un ouvrage inti-tulé : « De linfluence du Commerce sur lesprit et les mÅurs despeuples », et fut reçu, en 1785, dans cette illustre Compagnie. Ilavait été auparavant, en 1779, nommÃ
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