Revue de l'art chrétien . ^^?C mv; II -rij^rl m% ?» Wsà. (1,^1-«s ESSAI SUR LHISTOIRE DU VERRE ET DES VITRAUX PEINTS TXIOISIEME ET DERNIER ARTICLE III A la fin de larticle précédent, nous avons laissé la peinturesur verre agonisante, et nous avons signalé les diverses causesqui contribuèrent -à sa décadence. Le XV1II« siècle commença encore sous de plus tristes auspi-ces, car presque tous les fourneaux des peintres verriers étaientéteints à cette époque, et, comme pour excuser ou du moins at-ténuer cet abandon, on reproche alors a la peinture sur verre,dit Levieil * : « la fragilité des verres
Revue de l'art chrétien . ^^?C mv; II -rij^rl m% ?» Wsà. (1,^1-«s ESSAI SUR LHISTOIRE DU VERRE ET DES VITRAUX PEINTS TXIOISIEME ET DERNIER ARTICLE III A la fin de larticle précédent, nous avons laissé la peinturesur verre agonisante, et nous avons signalé les diverses causesqui contribuèrent -à sa décadence. Le XV1II« siècle commença encore sous de plus tristes auspi-ces, car presque tous les fourneaux des peintres verriers étaientéteints à cette époque, et, comme pour excuser ou du moins at-ténuer cet abandon, on reproche alors a la peinture sur verre,dit Levieil * : « la fragilité des verres, la pourriture des plombs,lobscurité quelle donne aux monuments, son indécence, etenfin le manque dartistes pour réparer les accidents. » Il nous est impossible de ne pas faire voir en quelques mots,tout ce que cette accusation renfermait dexagération. Nous avouons que les vitraux des siècles derniers pouvaientêtre dune certaine fragilité, attendu que les différents morceauxde verre composant alors une fenêtre étaient gén
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