Archive image from page 744 of Dictionnaire de physiologie (1900). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph04rich Year: 1900 FiG. 89. â7. Dt'glutition d'une masse semi-liquide. Le tracà supÃ- rieur provient du pliarynx, l'infÃrieur est obtenu au moyen d'un ballon enfoncà à 12 centimètres. La deuxième ÃlÃvation provient de restes alimentaires renvoyÃs par le pharynx. est imputable à l'action des constricteurs du pliarynx. Ce mode de progression du bol appartient aussi aux dÃglutitions isolÃes; mais il est incomparablement plus accusà dans les dÃglutitions associÃes. » (p. 2o2) Arloing
Archive image from page 744 of Dictionnaire de physiologie (1900). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph04rich Year: 1900 FiG. 89. â7. Dt'glutition d'une masse semi-liquide. Le tracà supÃ- rieur provient du pliarynx, l'infÃrieur est obtenu au moyen d'un ballon enfoncà à 12 centimètres. La deuxième ÃlÃvation provient de restes alimentaires renvoyÃs par le pharynx. est imputable à l'action des constricteurs du pliarynx. Ce mode de progression du bol appartient aussi aux dÃglutitions isolÃes; mais il est incomparablement plus accusà dans les dÃglutitions associÃes. » (p. 2o2) Arloing croit donc que la preniitre ÃlÃvation du tracà que nous avons attribuÃe au passage même du bol, envoyà directement de la base de la langue au cardia, est causÃe par la contraction pharyngienne. Nos tracÃs (voir flg. 88,2 et 3) dÃmontrent cependant que cette première ÃlÃvation se voit, même quand on Ãtudie la partie infÃrieure de l'Åso- phage, tandis que la contraction du pharynx, plus tardive, n'existe que dans le cas oii le sujet avale, au lieu d'une masse liquide, une masse semi-liquide. Dans ce dernier cas (flg. 89 et 90), si l'on con- sidère le tracà Åsophagien, on y trouve deux ÃlÃvations au dÃ- but, avant la longue contrac- tion. Le premier sommet (à droite) a la même origine que quand il s'agit de liquides ; il indique le passage de matières alimentaires rejelÃes par la ra- cine de lii langue; le deuxième sommet correspond au passage des matières qui, Ãtant restÃes adhÃrentes aux parois du pha- rynx, sont rejetÃes par les mus- cles de celui-ci. Cette deuxième contraction est plus lente que la première; car, quoique les constricteurs soient Ãgalement striÃs, leur mouvement est loin d'avoir la rapidità des muscles linguaux. La muscula- ture du pharynx n'est pas indispensable pour 'la dÃglutition. Meltzer l'a dÃmontrà directement en sectionnant les muscles constricteurs moyen et infÃrieur des
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