. comptesrendusheb75acad. es naturelles. ( 886 ) par exemple), marchant l'un derrière l'autre, l'allure du pas serait carac- térisée en ceci : que le marcheur d'arrière exécuterait ses mouvements un peu plus tôt que celui d'avant; 1) 4° Qii^î dans cette hypothèse, le pas devrait être considéré, pour la régularité du phénomène, comme s'étendant d'un acte quelconque au retour du même acte ; il cori-espondrait donc en durée à deux appuis, et pourrait se diviser en quatre temps signalés par les quatre battues et séparés l'un de l'autre par la durée d'un demi-appui; » 5° Qu
. comptesrendusheb75acad. es naturelles. ( 886 ) par exemple), marchant l'un derrière l'autre, l'allure du pas serait carac- térisée en ceci : que le marcheur d'arrière exécuterait ses mouvements un peu plus tôt que celui d'avant; 1) 4° Qii^î dans cette hypothèse, le pas devrait être considéré, pour la régularité du phénomène, comme s'étendant d'un acte quelconque au retour du même acte ; il cori-espondrait donc en durée à deux appuis, et pourrait se diviser en quatre temps signalés par les quatre battues et séparés l'un de l'autre par la durée d'un demi-appui; » 5° Que le corps ne repose jamais que sur deux pieds à la fois. Car la notation ne présente jamais superposés l'un à l'autre que les appuis de deux pieds; » 6° Que si l'on estime, à la manière de Vincent et Goiffon, les temps pendant lesquels le corps repose sur deux membres d'un même côté (bipède latéral), et ceux pendant lesquels il repose sur deux pieds de côtés dif- férents (bipède diagonal), on voit que ces temps sont égaux ;. Fig. 3. i^^^^^E^^^^Ã^^^^^Ã^^^^Ã^^^^m^^^B^^^^Ã^^^B^^^^K^^^^U » 7° Que les appuis du corps changent quatre fois pendant la durée d'un pas et se font dans l'ordre suivant : i° bipède latéral droit; 2° bipède diagonal droit; 3° bipède latéral gauche; 4° bipède diagonal gauche. (Les bipèdes diagonaux sont nommés droits ou gauches d'après le pied antérieur qui en fait partie.) » Ces conclusions sont conformes à l'opinion la plus générale des au- teurs ; elles correspondent à la théorie du pas donnée par Vincent et Goiffon, Solleysel, Rouley, Colin, etc. Mais d'autres auteurs ont admis, comme type idéal du pHs, des successions de mouvenienis un peu diffé- rentes. Ainsi, d'après Lecoq, le corps reposerait plus longtemps sur les bipèdes diagonaux que sur les bipèdes latéraux. Pou
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