Les Oblats de Marie Immaculée durant le premier siècle de leur existence . ^lazcnod, (tail bâtie à rcndroildéterminé par la luc et la place dites de lAncienne Madeleine. (\oir le plan.) Ellefut renversée pendant la r»é\olution. .Mais celle de , antiquecommanderic de li Jrdre îles religieux militaires de ce nom. beau monument gothiquedu xiir siècle, fut épargnée, ainsi (jiie le couvent adjacent, transforme, depuis, enmusée. Après la destruction de la Madeleine, la paroisse de Saint-Jean-dc-Maltesétendit jusquau cours INlirabcau et à la rue Papassaudi inclusivement. Ce clian-
Les Oblats de Marie Immaculée durant le premier siècle de leur existence . ^lazcnod, (tail bâtie à rcndroildéterminé par la luc et la place dites de lAncienne Madeleine. (\oir le plan.) Ellefut renversée pendant la r»é\olution. .Mais celle de , antiquecommanderic de li Jrdre îles religieux militaires de ce nom. beau monument gothiquedu xiir siècle, fut épargnée, ainsi (jiie le couvent adjacent, transforme, depuis, enmusée. Après la destruction de la Madeleine, la paroisse de Saint-Jean-dc-Maltesétendit jusquau cours INlirabcau et à la rue Papassaudi inclusivement. Ce clian-genienl des limites paroissiales a probablement donn»- lieu à la confusion faitepar le R. P. Rand)crt. nu-prise daulanl plus singulièic (pic axait habité,plusieurs années, la ville dAix. lenfance i3 Son éveil à la raison fat rapide. Ses proches constatèrent avecravissement que Dieu lui avait prodigué, dune façon peu commune,les dons de la nature et ceux de la grâce. Bientôt, en elîet, se manifestèrent en lui les premières lueurs de. Evv^. de .Miizciiod ;i ïàge de cinq ans. cette intelligence, qui, dans la suite, lança de si lumineux éclats. Kn mêmetemps saccusait de plus en plus en lui une fermeté de volonté extraor-dinaire. Puis, à mesure quil croissait, se dessinait davantage soncaractère ardent et franc, ennemi de tout détour hypocrite, mélangeharmonieux de droiture et de vivacité. Par ces traits, il reproduisait, au moral, limage de son père. De sa l4 LE FONDATEUR mère, il avait reçu, en outre, une sensibilité extrême, une inépuisablebonté, une rare délicatesse de cœur. Et quelle compassion pour les malheureux ! Lopulence au sein de laquelle il grandissait, loin de développerlég-oïsme dans son âme comme trop souvent chez les fortunés de laterre, len avait absolument banni. Elle le rendait plus secourable auxmisères dautrui. Les gâteries dont le comblait, plus que tout autre,son parrain et aïeul maternel,
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