. Bruxelles à travers les âges . ertrude, près de Sainte-Gudule (2). Ily resta jusquen 1802. A cette époque,une partie des bâtiments fut détruite afindagrandir la voie publique. Lhospicefut alors transféré dans un immeuble situé au Vieux-Marché-aux-Grains. Vers la même époque, on corrigea, par des expropriations et des démolitions,lalignement de la rue des Vents, et lon arriva ainsi à isoler suffisamment léglise, demanière à lui laisser en quelque sorte une plus grande liberté dallure, à agrandirson cadre en y mettant une marge suffisante pour quon pût mieux la voir et quelle (1) Le refuge d


. Bruxelles à travers les âges . ertrude, près de Sainte-Gudule (2). Ily resta jusquen 1802. A cette époque,une partie des bâtiments fut détruite afindagrandir la voie publique. Lhospicefut alors transféré dans un immeuble situé au Vieux-Marché-aux-Grains. Vers la même époque, on corrigea, par des expropriations et des démolitions,lalignement de la rue des Vents, et lon arriva ainsi à isoler suffisamment léglise, demanière à lui laisser en quelque sorte une plus grande liberté dallure, à agrandirson cadre en y mettant une marge suffisante pour quon pût mieux la voir et quelle (1) Le refuge de Sainte-Gertrude forme lextrémité de la rangée de maisons à droite dans la lithographie deSimonau, page 249. (2) Cet hôpital avait été converti en couvent vers la fin du quinzième siècle ou au commencement du seizième. Voir, pour plus de détails, lHistoire de Bruxelles, par Henné et Wauters, et lAperçu historique sur les établissements debienfaisance de la ville de Bruxelles, par Vander Monument du chanoine Triesï, a de Simonis. CHAPITRE II. 261 fût plus à laise au milieu des maisons qui, primitivement, enserraient sa base etobstruaient son approche. Un autre établissement de bienfaisance occupait de vastes locaux dans la rue duBois-Sauvage, — depuis, MM. Beyaert et Wynant Janssens ont construit sur leuremplacement les bureaux et lhôtel de la Banque Nationale, — cétait lhospice desEnfants-Trouvés (1). En 1811, à lépoque où parut le décret impérial qui régla la comptabilité deshospices denfants trouvés et le sort des petits malheureux que lon y recueillait,lhospice de Bruxelles comptait 626 pensionnaires.


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