. Dictionnaire de conversation à l'usage des dames et des jeunes personnes : ou, Complément nécessaire de toute bonne éducation. it pris autrefois dans diverses acceptions : adjec -livement, en lappliquant à lobjet perdu, on disait un chevalépave, mi bien épave; substantivement, pour désigner lobjet lui—m ime : épave, îles épaves. Le droit île semparer des objets ése nommail droil d épax es Époautre. plante de la famille dr-, graminées, dont plusieurs na-turalistes ont fail mie famille distincte. Lépeautro donne une famu moinfi nbondante que plusieurs autres espaces de froment; EI»E — 41 — ElK
. Dictionnaire de conversation à l'usage des dames et des jeunes personnes : ou, Complément nécessaire de toute bonne éducation. it pris autrefois dans diverses acceptions : adjec -livement, en lappliquant à lobjet perdu, on disait un chevalépave, mi bien épave; substantivement, pour désigner lobjet lui—m ime : épave, îles épaves. Le droit île semparer des objets ése nommail droil d épax es Époautre. plante de la famille dr-, graminées, dont plusieurs na-turalistes ont fail mie famille distincte. Lépeautro donne une famu moinfi nbondante que plusieurs autres espaces de froment; EI»E — 41 — ElK cependant on en conserve la culture clans les climats froids, parcequelle résiste aux hivers les plus rigoureux. Épée , arme offensive qui perce, pique et coupe, et dont lusageest à peu près commun à toutes les nations. Les Grecs, les Ro-mains, portaient des épées ; lors de la découverte du Mexique, lesMexicains étaient armés dépées de bois garnies de pierres. Aumoyen-àge, iépée lut lattribut des chevaliers et des gentilshom-mes; aux xvne et xvme siècles, elle faisait partie du costume. Epées 1° de Godefroy de Bouillon, 2° des Templiers, 3° dordonnance. élégant et se portait généralement : depuis la révolution, Iépée estexclusivement attribuée à nos officiers et à certains fonctionnairespublics.—La forme de Iépée a beaucoup varié selon les époques etles lieux : il y en a de carrées, de plates, de larges, de longues, decourtes. Parmi ces nombreuses variétés, nous citerons lespadon (y.),ou épée à deux mains, qui semble avoir été une arme terrible entreles mains de nos ancêtres : les Gaulois, les Francs, les chevaliersdu moyen-àge, portaient de cv> formidables épées, dont la poi-gnée arrivait à leur épaule. Parmi les plus célèbres épées de lachevalerie, il faut mettre au premier rang la Joyeuse de , la Durandale de Roland, Hauteclerc dOlivier, CourtindOgier, et la fameuse Flamberge de
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