Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages . ourait,était premier médecin du prince de Ses ouvrages écrits en latin germa-Brandebourg, du cardinal Albert qui nique, commentaires fur AriRote &lavait attaché à fa perfonne & à fa Galien, conçus fuivant lefprit ducour. Fixé dès-lors à Mayence, il était temps, nont aucun intérêt pour nous:en rapport avec la plupart des favants, ils font tombés dans loubli comme lades hommes de lettres de cette
Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages . ourait,était premier médecin du prince de Ses ouvrages écrits en latin germa-Brandebourg, du cardinal Albert qui nique, commentaires fur AriRote &lavait attaché à fa perfonne & à fa Galien, conçus fuivant lefprit ducour. Fixé dès-lors à Mayence, il était temps, nont aucun intérêt pour nous:en rapport avec la plupart des favants, ils font tombés dans loubli comme lades hommes de lettres de cette bril- plupart des livres de doflrine ou delante époque de la controverfe de cette période,parlent avec une rare eflime de fon Le choix de larchevêque, éleéteurérudition, de fon mérite, de la no- de Mayence, avait été décidé par lableffe de fon caraflère. Ce qui prouve recommandation unanime des favantsbien quil ne devait pas feulement à fa contemporains. DU LIVRE DE HUTTEN. Ixxxiij aimeraij excellent prince, je ferai heureux (], oubliant vosgraves occupations, vous accordez une attention bien-veillante à ce faible ouvrage. MAYENCEj AN M D XIX. LIVRE T)UL%JC DE HUTTEU^ CHEVALIER ALLEMAND Le traitement de la ^Maladie francaife & fur les admirablespropriétés du bois de Gayac. CHAPITRE I^. T)e la naiffance du mal français ; de fon nom. 1 ^ 1 A Providence a permis que, de notretemps ;, on vît furgir (le plus grandnombre le croit) des maladies in-connues à nos ancêtres (i). Ce futenviron vers lan de Jéfus-Chrift, (i) Au temps de Hutten , cette quayant exifté dans lantiquité, elleopinion était la plus générale : cepen- avait, depuis peu, revêtu un caraflèredant, à cette époque déjà, plufieurs plus grave, pris une marche plus ai-écrivains avaient foutenu que la ma- gué, fous linfluence de diverfes cau-ladie nétait pas dorigine récente, fes fpéciales. I CHAPITRE r 1495 (^) quéclata ce mal peftilentiel; ce neft
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