. Cours d'étude pour l'instruction du Prince de Parme : aujourd'hui l'infant D. Ferdinand, duc de Parme, Plaisance, Guastalle, etc. etc. anarchie que plufieurs r7nns^Illes dAllemagne ôc des princes mêmes *déf* t r ° ^n v , r , lions, Se des nerent des ligues pour veiller a leur luretc , ville* penfen*t voyant forcés à sarmer contre les brigands. * fe souv«*-l ne le ht pas de moindres changements enralie : car il sy forma de nouvelles principaut-és , S>c plufieurs peuples qui tentoient dé-nis quelque temps de fe gouverner eux-mè-nes , crurent enfin avoir trouvé Tocc^
. Cours d'étude pour l'instruction du Prince de Parme : aujourd'hui l'infant D. Ferdinand, duc de Parme, Plaisance, Guastalle, etc. etc. anarchie que plufieurs r7nns^Illes dAllemagne ôc des princes mêmes *déf* t r ° ^n v , r , lions, Se des nerent des ligues pour veiller a leur luretc , ville* penfen*t voyant forcés à sarmer contre les brigands. * fe souv«*-l ne le ht pas de moindres changements enralie : car il sy forma de nouvelles principaut-és , S>c plufieurs peuples qui tentoient dé-nis quelque temps de fe gouverner eux-mè-nes , crurent enfin avoir trouvé Tocc^fion de* rendre indépendants. Vous vous fouvenezue Rodolphe abandonna lItalie, fur laquel-î il ne pouvoit faire valoir [qs droits j Se quilendit la liberté à des villes qui, commeous le verrez bientôt , ne Tachetèrent pasuicune nétoit faits pour une pareille ac*.uifition. Mais quelles que foient ces républiques,1ous fommes à lépoque où il faut les obfer-er. Je nentreprendrai pas cependant de vouslire lhiftoire -de toutes leurs ditfentions: ilae fuffira de vous faire connoître lefprit^ans lequel elles fe font gouverné CHAPITRE IL Conjidérations générales fur ce qui famla force ou la foiblejfc dune revublique. l^é^îkTTft ^ N1 ^publique eft heureufe lorfque les cile fondement toyens obeiflent aux magiftrats , & que 1g&iî«T »wgiftr«s refpe&ent les loix. Or, elle ne peusulfurer de cette obéiflance & de ce refpeâquautant que par fa conftirution elle confonlintérêt particulier avec le bien général ; ielle ne confond lun avec lautre, quà preportion quelle maintient une plus grancégalité entre fes membres. Je ne veux pas parler dune égalité de fortune, car le cours des chofes la détruirait durgénération à lautre. Je nentends pas non plique tous les citoyens aient la même part aihonneurs; puifque cela feroit contradiftoiià Tordre de la fociété, qui demande que 1<uns gouvernent & que les autres fuient gotveinés. Mais jentends qu
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