Cours d'étude pour l'instruction du Prince de Parme : aujourd'hui l'infant D Ferdinand, duc de Parme, Plaisance, Guastalle, etc etc etc. . nt,les minis-tres de Cérès aétoient pas les feuls dépositairesdes fecrets de cette déeffe: en fécond Heu, ilny avoit proprement que les étrangers , à quiil nétoit pas permis de les communiquer : en-£n ces myftères nétoient pas des feiences,puifoue les initiés alloient chercher des con*Boiflances ailleurs Les Grecs nauroient pasacomme les Egyptiens, fouffort une do&rinefecrete. Daprès ces confidérations ,, on voit com«ment les Grecs ont pu perfeârionne
Cours d'étude pour l'instruction du Prince de Parme : aujourd'hui l'infant D Ferdinand, duc de Parme, Plaisance, Guastalle, etc etc etc. . nt,les minis-tres de Cérès aétoient pas les feuls dépositairesdes fecrets de cette déeffe: en fécond Heu, ilny avoit proprement que les étrangers , à quiil nétoit pas permis de les communiquer : en-£n ces myftères nétoient pas des feiences,puifoue les initiés alloient chercher des con*Boiflances ailleurs Les Grecs nauroient pasacomme les Egyptiens, fouffort une do&rinefecrete. Daprès ces confidérations ,, on voit com«ment les Grecs ont pu perfeârionner les arcs®và leor ont été apportés 5 ô^conuneiu il* om j£ H X f T O I R I. été capables den créer de nouveaux. Maït;pourquoi les fcicnces ne leur doivent-elles:pas également? pourquoi font-elles après euxreftées pendant pïufieurs fîecles dans un état in*£jrme ? & comment ont-elles pu de notre âgefaire tout-à coup des progrès extraordinaires *La première de ces queftions fe réfoudr*delle-même, lorfque nous obfeverons les phi*lofophes grecs : les deux autres ne peuvent pa$fe réfoudre encore. À W C I ! W N I: n CHAPITRE X. Obfervatlons fur la manière dont leshommes ont difinbtté les arts & lesfcïences en plufieurs clajjes. ou s ferions des progrès rapides dans les ~^~ tarts & dans les iciences, linous lavions toujours rions det ob~Attribuer avec ordre les objets de uq$ études. Je* *** n°jkMais cette diftribution fuppoferoit des connoif- rems am ôcfances. Nous avons donc commencé par tout în. dllîercme® r . fcïences, on« confondre; & les choies que nous avions a été mal fous*.étudier, ont été pour nous un chaos à dé-brouiller. Les hafards, les obfervations, la réflexion,le temps ont en partie débrouillé ce chaos, 8cnous avons mis quelque ordre dans nos re-cherches. Mais nétant pas capables de faifïrtout—à-coup le plus avantageux , nous avonsfait, comme en tâtonnant, des distributions ar-bitraires, qui, quoiqu
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