De la valeur thérapeutique des courants continus . eut juger nettement de lamélioration ob-tenue (fig. 6). sances médicales, 1877, un cas de vertige de Ménière giéri parla galva-nisation du cerveau (application des électrodes sur les deux tempes).Itard. Lélectrothérapie ppliquée aux bourdonnements doreilles et à Insurdité nerveuse, thèse, Paris, 1875, n° 310. (1) Recueil dophthalmologie du docteur Galezowski, 1873. (2) Driver, Arch. of Ophthal. and of Otology, vol. III, n° 5, pp. 226 à237, New-York, 1873. (3) Boucheron, Essai délectrothérapie oculaire. Etude physiologiqueet emploi de lélectri


De la valeur thérapeutique des courants continus . eut juger nettement de lamélioration ob-tenue (fig. 6). sances médicales, 1877, un cas de vertige de Ménière giéri parla galva-nisation du cerveau (application des électrodes sur les deux tempes).Itard. Lélectrothérapie ppliquée aux bourdonnements doreilles et à Insurdité nerveuse, thèse, Paris, 1875, n° 310. (1) Recueil dophthalmologie du docteur Galezowski, 1873. (2) Driver, Arch. of Ophthal. and of Otology, vol. III, n° 5, pp. 226 à237, New-York, 1873. (3) Boucheron, Essai délectrothérapie oculaire. Etude physiologiqueet emploi de lélectricité dans la thérapeutique des affections des nerfs, , 1876. — 73 - Atrophie blanche des nerfs optiques ; anesthésie cutanée. Traite-ment -. iodure de potassium; amélioration légère; courants continus ;amélioration légère après vingt-cinq séances ; état stationnaire pen-dant un certain temps, puis amélioration progressivement croissantependant un an; augmentation définitive très-remarquable (prof. Dor).. Fût. 0. Le nommé B., trente-neuf ans, dune forte constitution, la boureur,remarqua seulement en 1868, lorsquil fut obligé de fairele service mili-taire comme artilleur, que sa puissance visuelle avait fortement dimi-nué. Cependant le médecin militaire le considéra comme un hommequi simulait une maladie des yeux. Je le vis pour la première fois le7 mai 1869. Alors déjà latrophie blanche était très-développée ; aussila marche nétait-elle pas sûre, et il me montrait dans beaucoupdendroits des anesthésics cutanées. Le pouvoir visuel était tellementdiminué que le malade ne reconnut plus que des doigts,à trois pieds dedistance, le n°CC de Snellen.à 3/4 de pied. Le premier traitement fut de liodure de potassium à lintérieur; ilput ainsi reconnaître avec peine et après trois semaines, les doigts à7 pieds, et le n° C, à 1 pied. En août, môme état. Strychnine sans — 74 — résultat, et le 6 août, jemployai


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