. Bulletin de la Société botanique de Genève . nférieurs. Ces stomates sont enfoncés dans un léger puits; de plus les becsconstituent une antichambre inférieure. Enfin la chambre sous-stoma-tiquê est très réduite sinon complètement fermée. Quant aux cellulesannexes, elles sont divisées, mais ne présentent aucune prolifé cellules épidermiques ont leur péricline externe, épaissie. Salvadora persica Garcin. Le stomate lui-même, présente exactement les mêmes caractères,que ceux rencontrés chez Dobera glabra ; la principale différence con-siste dans la disposition de lépiderme ; celui-ci
. Bulletin de la Société botanique de Genève . nférieurs. Ces stomates sont enfoncés dans un léger puits; de plus les becsconstituent une antichambre inférieure. Enfin la chambre sous-stoma-tiquê est très réduite sinon complètement fermée. Quant aux cellulesannexes, elles sont divisées, mais ne présentent aucune prolifé cellules épidermiques ont leur péricline externe, épaissie. Salvadora persica Garcin. Le stomate lui-même, présente exactement les mêmes caractères,que ceux rencontrés chez Dobera glabra ; la principale différence con-siste dans la disposition de lépiderme ; celui-ci fort épaissi est trèssubdivisé aux environs immédiats des stomates; ailleurs, la couchedes cellules épidermiques est double, constituant un hypoderme ; les <99) L. REHFOUS. ETUDE SUR LES STOMATES 343 cellules annexes divisées ne représentent ancune prolifération (fig. 123). Un caractère nouveau, cest la continuation de la couche de ciitine le long- des cellules qui tapissent la chambre sous-stomatique ; cette. Fig. 123. — Salvadora persica. Section transver-sale équatoriale. dernière est très réduite, elle est souvent complètement oblitérée, parla multiplication des cellules sous-jacentes qui viennent se glisser verslostiole. CORYNOCARPACÉES Forst. La seule espèce connue du genre est un arbre de la Nouvelle Zééquemment cultivé dans les serres, à feuilles isolées, simples, muniesde larges stipules caduques. Ce genre fut dabord classé dans les Berbéridacées puis dans lesMyrsinacées, enfin dans les Anacardiacées, quand en 1897, Engler enfit le type dune famille autonome,les Corynocarpacées, quil a rangéesentre les Pentaphylacacées et les Iliacées, dans la série des Sapindales. Van TiEGHEM^ est daccord dexclure ce genre des .Vnacardiacées et dele considérer avec Engler comme type dune famille autonome; |)afcontre il nest pas daccord avec ce dernier au sujet des afiinités decette famill
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