Le Monde moderne . s sest vile répanduA partir du jour où se sont trouvées établies lesgriisses fiirtùnes; il existe une sociélé le Aeiu YorkCdaching Cluh. dont M. William Jay Junior a étélongtemps le président. La Siiciélé des Guides, A la tête de laquelle setrouve le comte de la , est tropconnue pour que nous nous y arrêtions longtemps;nous connaissons tous ses de draqssur la place de la Concorde et lexode, en fileindienne précédée par des piqueurs A cheval, jus-quau champ de courses d.\uteuil. Elle se compose(lune cinquantaine de membres, parmi lesquels onpeut ci


Le Monde moderne . s sest vile répanduA partir du jour où se sont trouvées établies lesgriisses fiirtùnes; il existe une sociélé le Aeiu YorkCdaching Cluh. dont M. William Jay Junior a étélongtemps le président. La Siiciélé des Guides, A la tête de laquelle setrouve le comte de la , est tropconnue pour que nous nous y arrêtions longtemps;nous connaissons tous ses de draqssur la place de la Concorde et lexode, en fileindienne précédée par des piqueurs A cheval, jus-quau champ de courses d.\uteuil. Elle se compose(lune cinquantaine de membres, parmi lesquels onpeut citer une fenmie, la duchesse de Luynes. En Angleterre, au moment de la création deschemins de fer, les coaches étaient dans la pléni-tude de leur succès ; il y en avait de trois espèces :le C()ac/i-omnii) qui faisait un service lent el quipouvait être comparé A nos anciennes diligences,le coach rapide, cétait une voilure alleléc en poste,el le mail-ciiarh. proprement dit, qui servait au. LE M \ I I. IIK LK MONDE ET LES SPORTS transport de la correspondance, et dont la formea été le prototype des mails actuels; le servicedes mail-coaches était fait par lEtat; chaque voi-lure était pourvue dun r/iiarrf. sorte de conduc-teur olViciel, qui comniaiidait au cocher et sous laresponsabilité duquel se trouvait la voiture; il por-tait une veste roujje, et de son cor il donnait descudres à lhoninie qui conduisait les chevaux, ilétait armé de pistolets et dun m<iusqueton. Les plus fïrands seif^neurs anglais ne reculaientpas devant lobliisation quils simposaient volon-tairement de conduire des onches publics; on vitun gentleman, allié aux premières familles de Galleset dont le père était au Parlement, conduire une lequel on risquait parfois des sommes assez conndérables ; les parieurs (iraient le coté du cheminqui revenait à chacun et on pointait les objetsquon rencontrait ; un âne valait 7, un cochon mouton noir 1, un chat 5, un chat à


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