. Les types de Paris. une {;ène. Onavait fait sou temps, miinix valait se sacri-fier, oh ! ce sera triste !... Krreur ! ce sera charmant. Bientôt on s a-morce à ce renouvellement dexistence ; ons acoquine aux coteries, aux rivalités, auxlaines qui sont les raisons pas-sionnées de vivre. Détaclu d(^ fa-mille, débarrassé des devoirs et contraintes pro-fessionnelles, on a la grisante sensation dêtreenfin libre ; on ne se soucie plus des sorties ; ouressent connue une impatience quand viennentles jours (jraduell(Miunt plus espacés des visitesde parents ; ou veut diieudie son présent toutjeune cont
. Les types de Paris. une {;ène. Onavait fait sou temps, miinix valait se sacri-fier, oh ! ce sera triste !... Krreur ! ce sera charmant. Bientôt on s a-morce à ce renouvellement dexistence ; ons acoquine aux coteries, aux rivalités, auxlaines qui sont les raisons pas-sionnées de vivre. Détaclu d(^ fa-mille, débarrassé des devoirs et contraintes pro-fessionnelles, on a la grisante sensation dêtreenfin libre ; on ne se soucie plus des sorties ; ouressent connue une impatience quand viennentles jours (jraduell(Miunt plus espacés des visitesde parents ; ou veut diieudie son présent toutjeune contre le passé Lété, du reste, a relait reneliaut(Muent du jar-din. liCs soirics sont divines. Ou va s égarer sansrhumes à des rendez-vous le long des ombresodorantes et seuKcs ditoiles ; ou pouira rêver àla musique des feuilles, longuement assis sur les lianes, la mainlans la main. Cest, alors, ou ne sait (juel cantique des cantiques,malicieusement retouché par Platon, un trop-plein de poésie. 160 LES TYPES DE PARIS. ot de tciulressf dans k- silence des étreintes; une éclcjsioii eiitliousiaste delomans délicieusement vi(Mliots (|iie la jalousie et le coniniéraye épient sonsles arbres pleins dun iluicliotement dhistoires folles !.. Mais un autre carillon retentit. Voici le revers de la médaille ; il faut ren-trer se coucher, endurer la [)romiseuit( du dortoir, encourii- le péril des cou-rants d air, dissimuler avec peiiu^ les désastres sé-niles du di-shabillé derrièreun paravent, lutter pcun- doiinir contre 1 aftreuse symphonie des rondenientset des catarrhes, se dire eulin (pu^ cette destinée, malfjré les illusions du ((cnr,se ponisuit bien pé Allons ! ne vous plaijjue/ pas trop, vous les petils renti(Ms (ran(piilles, vousle petit peuple des nuiisons de retraite, pourvu de loisirs et de sécurité. Il esttant il autres viinix et vieilles lunettes par la niiseic à léternel travail! Il lein-faut hanter les bureaux de demandes et r
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