. Dictionnaire de physiologie. Physiology. CÅUR. 135 fois, à la différence de l'iodothyrine qui n'agit qu'en augmentant l'excitabilité normale ou diminuée de ce nerf, l'Iiypophysine constitue elle-même un excitant très énergique. Introduite dans le sang, elle augmente considérablement la force des battements du cÅur en produisant un notable ralentissement rarement précédé d'une accélération passagère. Ce ralentissement est accompagné d'une élévation de la pression sanguine. Les pulsations provoquées par les extraits de l'Iiypopliyse, surtout ceux prépairn à une température d
. Dictionnaire de physiologie. Physiology. CÅUR. 135 fois, à la différence de l'iodothyrine qui n'agit qu'en augmentant l'excitabilité normale ou diminuée de ce nerf, l'Iiypophysine constitue elle-même un excitant très énergique. Introduite dans le sang, elle augmente considérablement la force des battements du cÅur en produisant un notable ralentissement rarement précédé d'une accélération passagère. Ce ralentissement est accompagné d'une élévation de la pression sanguine. Les pulsations provoquées par les extraits de l'Iiypopliyse, surtout ceux prépairn à une température d'éliuUition, ont le caractère des contractions renforcées iAklionspulfii;) telles (jue nous les avons décrites plus haut. Elles persistent souvent pendant o à lii minutes. Tout récemment, (107) a signalé une curieuse particularité de ces coiiliactions : c'est leur tendance à se manifester par groupes ou séries dont chacune dure 60 à 100 secondes et plus, et qui sont interrompues par des pulsations normales ou par de petites pulsations accélérées, comme les produit l'excitation des nerfs accélérateurs. l,a ligure 22 représente une pareille série chez un chien. (Voir aussi plus loin fig. 23.) Voici les traits caractéristiques de ces séries illijpophysenrcihen) : 1) Les excitations ainsi que la section des pneumogastriques sont impuissantes à les empêcher de se pro- duire ou à en interrompre la contiiiuation. 2) L'atropine, susceptible de [laralyser entiè- rement les pneumogastriques, ne parvient pas toujours à interrompre une série produite par l'extrait de l'hypophyse. 3) Dans les cas où l'introduclion préalable de l'hypophyse a. KiG. 22. â Série des pulsations renforcées chez un chien -{Voir 107). (Ce tracé se lit do droite à gauche, comme les lipurcs qui suivent.) empêché l'action paralysante de l'atropine sur les pneumogastiiques, l'intluenc
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