Étrennes lyriques anacréontiques pour l'année 1784 . s trill- fort?Dame ça me tourmente fort. Hewreux moutons, je fus longtemsComme vous fans inquiéù peut venir ce que je fens,Je naime que la folitude. M ,^(J É T R E K N 1 • Vit-on jamais plus triftc sà me tourmente fort. Sur CCS bords où je viens rêver,11 cft vrai quun foir endormie ,Myfis ofa me réveiller;Mais il mappclld fou à ne peut venir mon élas ! ça me tourmente fort. Il navait pas lair dun méchant,Et je nen fus pas courroucé lavait fait fi doucement,Quoi ! pouvais-je en être oflfenféc ?Delà ne peut v
Étrennes lyriques anacréontiques pour l'année 1784 . s trill- fort?Dame ça me tourmente fort. Hewreux moutons, je fus longtemsComme vous fans inquiéù peut venir ce que je fens,Je naime que la folitude. M ,^(J É T R E K N 1 • Vit-on jamais plus triftc sà me tourmente fort. Sur CCS bords où je viens rêver,11 cft vrai quun foir endormie ,Myfis ofa me réveiller;Mais il mappclld fou à ne peut venir mon élas ! ça me tourmente fort. Il navait pas lair dun méchant,Et je nen fus pas courroucé lavait fait fi doucement,Quoi ! pouvais-je en être oflfenféc ?Delà ne peut venir mon fort,Dame çà me tourmente fort* Dun balfcr dépend fon bonheur ;Si je veux le lui laiffer tous les jours ma fœur#Pourquoi refufer de fe rendre ?Delà ne peut venir mon fort,Dame çà ^^ tourmente fort. Hélas! ceft depuis ce jour-là.Que je nae fens toute rê ne fit pourtant que rendrait-il malheureafe ?Jétais contente de mon fort,,..Hélas ! çà me tourmente fort. Par M, Briako; I. itf>i $ ÉTRENîiES HYMNE A LÉTOILE DE VÉNUS. Imitation d. Alofchus,A I R : Dulgn: écouter , &c. B EL Hefpcrus, aftre de Cythcrée;Je te faluc , ornement de la nuit :Répands ton feu fur la voûte azurée ,Préfide aux Cioux -, voilà Phœbé qui fuit. Son arc nailTjnt bientôt vi difparaîtrc:Que ton éclat brille & guide mes pas!Verfe ton jour fur le réduit champêtreOù ma Cloris me garde fes appas. Je ne fors pas pour attaquer mon Frère,Et pour ouvrir fous fes pas un tombeau :Je fuis mon cœur, je cours chez ma Bergère lPrête à lAmour ton trop heureux flambeau. AnoKZMfl» Ltriqves^ 2^9 .^Lkk. CANTIQUE Chanté par une SœuTj dans une loge cTAdoptiontA IR : Avec les jeux y dans le Village» JL-rfST-iL de fête plus charmanteQue celle des bons Francs-Maçons ;Ailleurs ceft le bonheur quon vante »Ici ceft lui que nous goûtons jA chaque inftant ce nom ii tendre ,Le nom de Frère répété,Avec plaifir fe fait enten
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