Traité des torticolis spasmodiques, spasmes, tics, rythmies du cou, torticolis mental, etc. . ur. Bon appétit; selles régulières. La malade (i) Radcliffe Hall, Provincial médical and surgical Journal, mai 1841. Anal, in Gazellemédicale de Paris, 1841, p. 665. (2) Ed. Stich, « Zwei Fiille von Krarapf in Bereich des Neivus accessoriiisWilIisii », cas I,Deulsches ArcJiiv. fur kUnische Mediein. Leii:izig, Bd XI, 1873, pp. 524-526. LES TORTICOLIS PARALYTIQUES 183 ayant essayé contre sou affection divers moyens sans succès, sest remise auxsoins du professeur V. Ziemssen, dans la clinique de qui elle


Traité des torticolis spasmodiques, spasmes, tics, rythmies du cou, torticolis mental, etc. . ur. Bon appétit; selles régulières. La malade (i) Radcliffe Hall, Provincial médical and surgical Journal, mai 1841. Anal, in Gazellemédicale de Paris, 1841, p. 665. (2) Ed. Stich, « Zwei Fiille von Krarapf in Bereich des Neivus accessoriiisWilIisii », cas I,Deulsches ArcJiiv. fur kUnische Mediein. Leii:izig, Bd XI, 1873, pp. 524-526. LES TORTICOLIS PARALYTIQUES 183 ayant essayé contre sou affection divers moyens sans succès, sest remise auxsoins du professeur V. Ziemssen, dans la clinique de qui elle est entrée le24 juillet 1871. Etat actuel : la tête de la malade tombe spasmodiquement sur lépauledroite (fig. 16); on sent le tiers supérieur du trapèze et le sterno-cléido-mastoïdien très fortement tendus; quelques points douloureux le long dutrapèze, surtout au niveau de linsertion à la base, du crâne. H y a encore unpoint douloureux dans le tiers externe de la clavicule, quand elle bouge lebras (sortie du petit nerf occipital). La peau dans la région de la partie. Fig. 16. supérieure du trapèze donne une sensation de gène comme si une étoffe larecouvrait. Par suite de létat de raideur persistant de la tète, la peau dubras droit est rouge. Si la malade parle vite, la tète se tient droite, de mêmeque si elle se livre à un mouvement énergique. Par lélévation du bras et lerelâchement du trapèze, lu crampe disparaît, et la tète se redresse é sa flexion, la tète vient toucher lépaule par lapophyse mastoïde :action du sterno-mastoïdien. Lépaule paraît haussée, mais si on soutient latête énergiquement, lépaule ne sélève pas. La tête ne peut se tourner par mouvements actifs du côté gauche. Quandla malade veut écrire, il faut que quelquun lui tienne la tête des deux côtés :alors seulement est possible un mouvement de la main. La pression sur lacolonne cervicale et les mouvements passifs du cou ne sont pas doulour


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