. L'illustration : journal universel . esure quele~ quelle pr< seule séloigneront desregard:, et de la mémoire du lecteur. iib u iLdijuoii\., jyj\jiuyi\ij umïiZiiioiijj. Sans être ver-sé dans la bellescience quia immortaliséVauban , cha-cun sait avecquelles précau-tions on se [pré-sente devant lesplaces de en sen-fonçant sousterre , en ou-vrant des tran-chées et en je-tant du côté delennemi les dé-blais provenantde ces tran-chées , quonavance sous lefeu de la grosseartillerie. Ontrace ainsi deslignes quon ap-pelle parallèles,parce quen elîetelles sont paral-
. L'illustration : journal universel . esure quele~ quelle pr< seule séloigneront desregard:, et de la mémoire du lecteur. iib u iLdijuoii\., jyj\jiuyi\ij umïiZiiioiijj. Sans être ver-sé dans la bellescience quia immortaliséVauban , cha-cun sait avecquelles précau-tions on se [pré-sente devant lesplaces de en sen-fonçant sousterre , en ou-vrant des tran-chées et en je-tant du côté delennemi les dé-blais provenantde ces tran-chées , quonavance sous lefeu de la grosseartillerie. Ontrace ainsi deslignes quon ap-pelle parallèles,parce quen elîetelles sont paral-lèles au Irontquon les arme en-suite de batte-ries pour répon-dre au feu delassiégé. Aprèsavoir tracé unepremière paral-lèle, on sappro-che , en chemi-nant sous terre,par des zigzagsjusquà la dis-tance où lonveut tracer uneseconde paral-lèle, quon armede batteriescomme la pre-miè arrivesuccessivementà la troisième,doù lon sélan-ce au bord du Uu ëpisode du siëge de Baiiaunie, par fossé, qui sap-pelle chemincouuerJjpuisondescend dans cefossé avec denouvelles pré-cautioDS,on ren-verse atec desbatteries debri-che les murail-les appelées a-carpes, on rem-plit le fossé deleurs décom-bres, et sur cesdécombres onmonte enfin àlassaut. Dessorties de len-nemi pour trou-bler ces travauxdifQciles , descombats , degrossearlillerie,des mines quifont sauter dansles airs assié-geants et assié-gés , ajoutentdes scènes ani-mées et souventterribles à cettealîreuse lutte souterraine,dans laquelle lascience le dis-pute à lIiéroïî-tne pour atta-quer ou défen-dre les grandescités que leursrichesses, leursituation géo-graphique ouleur force mili-taire rendentdignes de tels(floris. ! (Siège de Dont-zig. — Histoiredu Consulat etlie lEmpin,t. VII. p. 506.) a LILLllSllUnON K,w ix\MïM\t U1 Si |i puiliif àovMuV S^^,t)^)a^lnl^^ , — ou euvo\\CT lidiico a DUBOtHliT, Corre«ipondanc«* A M. D.ù Aix. — Nous aUenrirons que le
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