Revue pittoresque : musée littéraire . KLLE SE VEMD EN DÉT/\1L. Mon liisloiro esl touchante, ou philôl son liis-Inire esl touchante à elle, la pauvre fille! si gra-cieuse et si jolie. Son père était mort, ne lui lais-sant quune hénÉdiclion. Son frère avait veillé surelle, mais Dieu le rappelant aussi avait abandonnéà la solitude, mauvaise conseillère , cette filledont on eût fait une si belle mère de famille. Savertu la perdue. Pour avoir commencé par êtrelionnéte, elle est dans la fange aujourdhui; sielle eût commencé par le vice, elle serait dans lasoie et dans lor : voilà notre justice ! Vo


Revue pittoresque : musée littéraire . KLLE SE VEMD EN DÉT/\1L. Mon liisloiro esl touchante, ou philôl son liis-Inire esl touchante à elle, la pauvre fille! si gra-cieuse et si jolie. Son père était mort, ne lui lais-sant quune hénÉdiclion. Son frère avait veillé surelle, mais Dieu le rappelant aussi avait abandonnéà la solitude, mauvaise conseillère , cette filledont on eût fait une si belle mère de famille. Savertu la perdue. Pour avoir commencé par êtrelionnéte, elle est dans la fange aujourdhui; sielle eût commencé par le vice, elle serait dans lasoie et dans lor : voilà notre justice ! Voyez-vous, il y a tant de misère aujourdhui!il est si difficile de vivre, même aux femmes, quivivent de si peu ! Les hommes pullulent sur cetteterre comme les vers sur le fumier. iSayanl pas àvivre comme des hommes, ils vivent du travaildes femmes. Ils se font couturières et brodeuses; ils se feraient marchandes de modes au voulez-vous que devienne une malheureusejeune fille dans cette civilisation é


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