L'illustration : journal universel . painlii alors i1 :s menaçait; îs toute la foule a croire quun grand danger I prénaratirscommesilsagissailduu combat à livrer. Lhomme I pascal I mesuré, H sa> mça ainsi jusque sur la graude s guo-riers bandèrent leurs arcs, ri on fil d I d< fouc t approchai! toujours avec dignité cl marchant dun I placj du village où les guerriers s étaient rassemblas pour le LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. 233 recevoir; ils lui tendirent la main et laccueillirent commeune vielle connaissance en lappelant par son nom Nee-mohk-ruuck-a-nah (le premier homme). Ce person
L'illustration : journal universel . painlii alors i1 :s menaçait; îs toute la foule a croire quun grand danger I prénaratirscommesilsagissailduu combat à livrer. Lhomme I pascal I mesuré, H sa> mça ainsi jusque sur la graude s guo-riers bandèrent leurs arcs, ri on fil d I d< fouc t approchai! toujours avec dignité cl marchant dun I placj du village où les guerriers s étaient rassemblas pour le LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. 233 recevoir; ils lui tendirent la main et laccueillirent commeune vielle connaissance en lappelant par son nom Nee-mohk-ruuck-a-nah (le premier homme). Ce personnage était peint en blanc , et portait sur les épaules quatre peaux de loups I fondement vénéré. Après avoir élé reçu par les guerriers, il seblancs et sur la têle deux peaux de corbeaux; dans la main dirigea vers la loge sacrée et louvrit. Tout le jour Nee-gauebe il tenait une pipe quil poi lait comme un objet pro- | molik-muek-a-nab parcourut le village, frappant à tous les. viigwams. Alors on lui demandait qui il était et ce quil vou-lait. Il répondait en racontant, à sa façon, la catastrophe dudéluge, et ajoutait quil était le seul homme qui se fût sauvéen se retirant sur le sommetdune haute montagne de louestoù il résidait; puis il deman-dait à chaque individu un donpour la loge, sous peine de voirrevenir un nouveau déluge. Lanuit, personne ne dormit dansle village, tout le monde se te-nait sur le seuil des portes, dansle plus religieux silence. Au le-ver du soleil, Nee-mohk-muck-a-nah se dirigea de nouveauvers la loge où tous les jeunesgens candidats au martyre lesuivirent; ils étaient au nom-bre de 21 ; ils se placèrent encercle, Nee-mohk-muck-a-nah debout au milieu ; aprèsavoir fumé une pipe et invoquéle Grand-Esprit, il déléguases pouvoirs à un vieux docteurquil nomma O-kee-pah-ka-se-kah, cest-à-dire maître descérémonies, puis il disparut entraversant de nouveau tout levillage. Pendant trois jours, les vingtet un jeunes ge
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