. Paléontologie végétale cryptogames cellulaires et cryptogames vasculaires . em-blables formations, et dans laquelle la gaine scléreuseque lon observe toujours à une certaine distance ducylindre central est séparée de lépiderme par plusieursassises de parenchyme 2. En outre, chacune delles montre en son milieu, surtes coupes transversales, une étoile ligneuse généralementconstituée, comme dans les mêmes organes, chez lesMarattiacées actuelles, par un assez grand nombre defaisceaux plus ou moins coalescents au centre. Les i. Cf. H. Graf zu Solms-Laubach, Der tiefschwarze Psaronius Haidin-ge


. Paléontologie végétale cryptogames cellulaires et cryptogames vasculaires . em-blables formations, et dans laquelle la gaine scléreuseque lon observe toujours à une certaine distance ducylindre central est séparée de lépiderme par plusieursassises de parenchyme 2. En outre, chacune delles montre en son milieu, surtes coupes transversales, une étoile ligneuse généralementconstituée, comme dans les mêmes organes, chez lesMarattiacées actuelles, par un assez grand nombre defaisceaux plus ou moins coalescents au centre. Les i. Cf. H. Graf zu Solms-Laubach, Der tiefschwarze Psaronius Haidin-geri von Manebach in Thûrinjen, Zeitschrift fur Botanik, III, 1911,Heft 11, p. 739, 7/46, 752, , et fig. 5, 7 ; — F. Pelourde, Observa-tions sur le Psaronius brasiliensis, Ann. Se. nat., Bot., 9e série, t. XVI,,1912, fig. 2 et 3. 2. H. Grafzu Solms-Laubach, loc. cit., p. 755. MARATTLALES 20 antres tissus de son cylindre central se trouvent engénéral détruits. Entre sa gaine scléreuse et son cylindrecentral, il existe un parenchyme que lon a décrit comme. Fig. 64. — Psaronius braslliensis (échantillon-type dit « deGuillemin » : coupe transversale). I, côté tourné vers la tige ; — E, côté externe ; — r. l\, r. 5, r. 6, r. io,r. 16, racines représentées par leurs gaines scléreuses et par les touffesde cellules qui en émanent : l\, 5, 6, io, 16 ; — 17, touffe de cellulesprovenant dune racine non figurée ; — p, massifs de parenchymeinterrompant çà et là les gaines scléreuses ; — s, groupe assez réduitdéléments sclérifiés. étant tantôt compact, tantôt lacuneux. Cest sur cesprétendues différences que Stenzel sétait appuyé autre-fois pour répartir les Psaronius dans deux subdivisionsprincipales (Helmintholithi et A s terolithi) i. Cette répar- Stenzel, Ueber die Staarsteine, p. 82Q-83i, 2 58 CRYPTOGAMES VASCULAIRES tition était assez artificielle, dailleurs. Chez le Psaroniusbrasiliensis, par exemple, contrairement


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