. Bulletin de la Société géologique de France. Geology. 530 ADRIEN GUÃBHARD l'E. jusqu'à son contact avec le Barrêmien, se montre, au pont, avec poudingue par-dessus et par-dessous. Que l'inférieur soit celui de la base du Lattorfîen, c'est assez vraisemblable ; mais il se trouve tout de suite, au N., submerg-é par l'autre qui, dans les hauts ravins descendant sur la route, les uns vers l'W., les autres vers le S., se montre bien plus semblable, avec ses argiles versicolores, à celui de la partie supérieure rupélienne que de la partie inférieure lattorfîenne de Taulanne, Pont
. Bulletin de la Société géologique de France. Geology. 530 ADRIEN GUÃBHARD l'E. jusqu'à son contact avec le Barrêmien, se montre, au pont, avec poudingue par-dessus et par-dessous. Que l'inférieur soit celui de la base du Lattorfîen, c'est assez vraisemblable ; mais il se trouve tout de suite, au N., submerg-é par l'autre qui, dans les hauts ravins descendant sur la route, les uns vers l'W., les autres vers le S., se montre bien plus semblable, avec ses argiles versicolores, à celui de la partie supérieure rupélienne que de la partie inférieure lattorfîenne de Taulanne, PontdelaR*'N'p85. fissedeBlieux,fi. "fibreuvaqe f^'"de S^Pierre C,,./,/ n, r t3l^_ii!iL ; J,b C FiG. 20.â Coupe XIX. â Champ de fractures alpines a l'arrêt des plis de Senez. 27. Ldi TuiUère (coupes XV, XVIII, XIX). â Dans le haut des ravins qui se jettent directement, à l'W., dans celui de Saint-Pierre, en aval de celui de Deboides, on voit partout la haute masse des conglomérats et des argiles rouges former la paroi verticale nord de la faille alpine qui limite là , en coupant les bancs par leur tranche, une émergence complète de Jurassique en série régulière, soulevée par un mouvement de soupape atta- chée sur une petite longueur, à l'angle S. E., où les calcaires siliceux supérieurs, redressés en falaise au coude de la route, se montrent en avant baignés de Crétacé inférieur, tandis qu'en arrière les marno-calcaires, pris pour Crétacé supérieur^ et faciles en effet à prendre pour tels, ont fourni quelques fossiles qui ont permis de les rendre à leur véritable attribution jurassique, ainsi que tous les autres bancs, jusqu'au gjpse pseudo-chevau- chant de la Tuilière (§ 7), lequel se voit, à la naissance de chaque ravin, le long de la faille, largement recouvert, à l'état de bavure éjectée, par la grande épaisseur de la mollasse rouge et fort en contre-
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