. La Lecture. votre part faisait du mal à cette en»là, je ne vous le pardonnerais pas. H LÈVRES CLOSES 369 — Je ne me le pardonnerais pas à moi-même, déclara Fro-lentel, soudain sérieux. Il ajouta : — Ne craignez rien. Je nai jamais été pour LolotteQ meilleur marinen ce moment,e quelle a ne meréoccupe pas,uisquil s^agitun malaise quia pas de cause.;oral ou physi-le, il sera passéen tôt. — Tu nas pasi Charlotte, Marenne ? Pourquoiy es-tu pas allée?smandaNLdeSé-s en se tournantTs sa se trou-siit à constater laâlesollicitudes deux hommesur laimable etigile créature siofondément at-
. La Lecture. votre part faisait du mal à cette en»là, je ne vous le pardonnerais pas. H LÈVRES CLOSES 369 — Je ne me le pardonnerais pas à moi-même, déclara Fro-lentel, soudain sérieux. Il ajouta : — Ne craignez rien. Je nai jamais été pour LolotteQ meilleur marinen ce moment,e quelle a ne meréoccupe pas,uisquil s^agitun malaise quia pas de cause.;oral ou physi-le, il sera passéen tôt. — Tu nas pasi Charlotte, Marenne ? Pourquoiy es-tu pas allée?smandaNLdeSé-s en se tournantTs sa se trou-siit à constater laâlesollicitudes deux hommesur laimable etigile créature siofondément at-inte par sa faute,nsi Lolotte, malé sa puérilité,n besoin de con-lation et de con-nce, navait pasihi la doulouise gravité deQ secret. Quelle t un poids terrible sur le cœur, le mari même ne \o soupçonnaitis. Non seulement elle gardait les lê\ res closes, mais elle neIssait échapper aucun symptôme involontaire de ce qui devait lairmenter si cruellement. N L. — 01. vni — Ji. Klle saccoadait à la rnriipo. 37 0 LA LECTURE ILLUSTRÉE Marcienne en ressentit une émotion où la gratitude et la pitié semêlaient dimpatience. Son orgueil eût préféré la lutte. Et peut-être, dan^ lexaltation damour (^ui lui rendait impossible toutretDur à lexistence normale, aussi dans lantipathie du perpétuelmensonge, souhaitait-elle vaguement une (\itastrophe qui leûtlibérée des c(Mitraintes, qui leût autorisée à mourir en plein rèvo Elle entendit Jacques Fromentel lui dire : — Oui, ma chère Marcienne, venez donc voir Lolotte. Vu moide \ous la guérira. NOus la confesserez. Elle doit avoir quelqu»petite folie en tête. Et vous êtes son modèle, son h^n ange. Ahelle apprécie sa chance de posséder une sœiîr comme vous. — Jirai voir Charlotte aujourdliui même, dit \ alla. Dans lascenseur lemportant vers létage élevé quhabitait 1«|ménage du peintre, M™® de Sélys sentit son C(rur battre de timiditcomme cela ne lui éta
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