. Rapport de la mission d'eÌtudes de la maladie du sommeil au Congo français 1906-1908. n antérieure est achevé voracité rend leurmanipuiation dangereuse lorsquil sagit de mouches infecté se ruent en foule sur les parois des cages dès quon y porte la main pour lesdéplacer, et piquent à travers les mailles du grillage métallique ou de la ne convient-il de les manier quavec de réelles précautions. Pour piquer, la mouche relève ses palpes maxillaires à angle aigu et rabat-tant sa fine trompe verticalement, lenfonce à travers la peau de toute sa longueur


. Rapport de la mission d'eÌtudes de la maladie du sommeil au Congo français 1906-1908. n antérieure est achevé voracité rend leurmanipuiation dangereuse lorsquil sagit de mouches infecté se ruent en foule sur les parois des cages dès quon y porte la main pour lesdéplacer, et piquent à travers les mailles du grillage métallique ou de la ne convient-il de les manier quavec de réelles précautions. Pour piquer, la mouche relève ses palpes maxillaires à angle aigu et rabat-tant sa fine trompe verticalement, lenfonce à travers la peau de toute sa longueur jus-quau bulbe (PI. I, fig 87). On peut se rendre compte de ce manège dune façon trèssimple. Il suffit denfermer une glossine atlamée, dans un tube de verre fermé par unbouchon : la mouche .sentant lodeur des doigts de lopérateur sur le liège chercheimmédiatement à y faire pénétrer sa trompe. .Si le sang abonde à lendroit piqué, la glossine ne tarde pas à se gorger et à sen-fuir; sinon, elle insiste, enfonce sa fine canule, explore avec elle en différents sens len-. lig. 87. â Alliliiili il l:i Miiiiiclii [iiMiiiiinl |ii(|iin\ droit piqué, la retirant à demi pour lenfnncer à nouveau le plus profundrment pos-sible. ?i plusieurs reprises. Durée de /a succion. â La durée de la succion varie suivant labondance du sangdans lendroit piqué et aussi suivant létat physiologique des mouches. Souvent enmoins dune demi-minute, la mouche est gorgée à éclateret senvole les ailes fois le repas peut durer plus dun quart mouches alfaiblies par lejeîine, par une parturition récente ou par dautres causes, se gorgent le plus souventavec peine. Dune façon générale dailleurs, celles qui sont maintenues en captivitémême dans les meilleures conditions possibles, sont beaucoup plus lentes à se gorgerque celles quon peut observer dans la nature ; lest là en


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