Œuvres diverses de M L de Chaulieu . orcéDe sen tenir au fommes aujourdhui fous de plus douces lois;Nous fuivons nos defirs, & fans pudeur comme il lui plafc vit avec fa chacune ;On aime plus quon aimoic autrefois. On aime à droit, on aime à gauche ,Partout en liberté lon compte fes chez nous aujourdhui ne sapelle dé lamour eft enfin de toutes les en prend fans fe contraindre ;Et je ne vois que les marisQuipuifTent juftement fe plaindreQiion aime plus que lon aimoît jadis. Vivez heureux fujets de lamoureux ces jours fo
Œuvres diverses de M L de Chaulieu . orcéDe sen tenir au fommes aujourdhui fous de plus douces lois;Nous fuivons nos defirs, & fans pudeur comme il lui plafc vit avec fa chacune ;On aime plus quon aimoic autrefois. On aime à droit, on aime à gauche ,Partout en liberté lon compte fes chez nous aujourdhui ne sapelle dé lamour eft enfin de toutes les en prend fans fe contraindre ;Et je ne vois que les marisQuipuifTent juftement fe plaindreQiion aime plus que lon aimoît jadis. Vivez heureux fujets de lamoureux ces jours fortunés où tout vous eft permis;Suivez les mouvemens que le tems vous infpire , de M. k M. de U Tâvre. %tl Et foïcz à TAmour fans réfcrve fournis :Et vous , jeunes beautés, il eft de votre gloîrcsDe faire icimentir vos plus grands chaque jour quelque galante hiftoircjEt par le nombre enfia de vos tendres amis ,Confondez les rêveurs, qui veulent faire croirCjfQ^on aime moins que Von âitnoit jadiSt. S â Jjoi Voèfm AT> P T R R H A Ai. Q^is mdta^racilis fe ^mr inrcfuy ^c. JL/ Is-moî, Pyrrha, quel eft cet amant fortuné.Tout parfumé dodeurs, & de fleurs couronné ;Pour qui, fans aucun foin de ce rendre plus belle5_Ta (implicite naturelleLaiffe flotter fes blonds qui dans ur^e grotte , où ton amour Tapcllcs^Croit de tous les mortels écre le plus heureux BX,i fur un lit femé de jafmins Se de rofes,Ou tranquilement tu repofes yS*âbandonnant à fes déflrs ,ïl aime àfe noï r dans les plus doux plaîfirs*Mais fl tôt quil verra fon vailTeau trop fragile ;,Agitç par les vents, prêt à fe renverfer 5On le verra bien- tôt pouflerVers le ciel fa plainte inutile ^Lui qui par fa crédulité »Sur la foi de ton cœur voguoit en fureté. Malheur , beauté trop inconftante aMalheur à qui tu patoib lî charnunçc / 503 ds M. le M. de ta FarrelPour moi, dans le port arrivé>Je fuis à labri de Torage ;Ec joffre de bon cœur aux Dieux
Size: 1879px × 1329px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No
Keywords: ., bookcentury1700, bookdecade1730, bookidoeuvresdiver, bookyear1733