Les oeuvres de théâtre de Monsieur de Brueys . éternel, piailleur infatigai^Ie , on vous dit quecefl ce coquin qui me veut faire danfer par force. A R I s T E. Par force ! M Grichard avec ouï par force. C A T A U. Ouï, Monfîeur , la bourrée. A R I s T qui vous a fait fi hardi, Moniîeur j que de venircéans ? L O L I V E. Monfîeur, Monfieur, jy viens de bonne part,& je men va^s dire à Mademoifelle Clarice com-ment on y reçoit les gens quelle envoyé.M. Grichard, Oh je ny puis plus tenir ; il faut que jaille cher-cher ce vieux fou de Monfîeur de faint Alvar ychanter poiiille à Clar
Les oeuvres de théâtre de Monsieur de Brueys . éternel, piailleur infatigai^Ie , on vous dit quecefl ce coquin qui me veut faire danfer par force. A R I s T E. Par force ! M Grichard avec ouï par force. C A T A U. Ouï, Monfîeur , la bourrée. A R I s T qui vous a fait fi hardi, Moniîeur j que de venircéans ? L O L I V E. Monfîeur, Monfieur, jy viens de bonne part,& je men va^s dire à Mademoifelle Clarice com-ment on y reçoit les gens quelle envoyé.M. Grichard, Oh je ny puis plus tenir ; il faut que jaille cher-cher ce vieux fou de Monfîeur de faint Alvar ychanter poiiille à Clarice, à fon père j 6c à tousceux que je trouverai chez lui. U lE ÔRONDÉUit, SCENE , CATAU. C A T A U. JLu E voilà parti. Que dites-vous de Lolive ? A R I s T E. Ceft un fort joli garçon. Oh pour le coup jecrois mon frère defabufé de A T A u. Ce n*eft pas tout j il faut le ramener à fcn pre-mier defTein, & c eft à quoi nous devons aller tra-vailler fans perdre un inilant. fin dn fécond A5i^t. COMEDIE. gjf ACTE III. ?i ? SCENE ,CATAU. C A T A U. OUe viens-tu chercher ici? pourquoi nas-tupas pris ton autre equipage ? Si Monlîeur Gri-chard L G L I V E. Il lui relie encore Clarice & Fadcf à quereller. C A -T A u. II peut te furprendre, & te reconnoître. L G L I V E. Bon reconnoître ; tu ne fçaurois croire la vertuqu oni ^es beaux habits pour changer les gens com-me nous. Se mêler de pirouetter , ôc porter un ha-bit doré, jen connois plus de quatre à qui ii nenfaut pas davantage pour ne fe connoître pas eux-mêmes. C A T A u. Qu as-tu donc à me dire ? L O L I V E. Bien des chofes fur ce que tu veux que je fafTc, C A T A donc vite. a# LE GRONDEUR, L O L I V E. Puifque Mondor eft arrivé , quil fe ferve de fe^ C A T A u. Il na amené avec lui que ce valet de chambredont nous avons déjà fait F Aumônier, que nousavons envoyé à Monfîeur Grichard. Il ny a queloi qui puifle achever c
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