Les accouchements dans les beaux-arts, dans la littérature et au théatre . FiG. 93. — Les Parques. Groupe tiré du fronton du Paiihcnon, dont les marbresoriginaux sont au musée britannique, à Londres. —Fig. 94. — Restauration dudit groupe par >L Glésinger. de lart grec indique la position à demi couchée, en usage à Chypre,environ 480 ans av. J. G. Dans le fronton duParthénon se trouve ungroupe analogue (/?^.93,94), que lon a pris à tort pour une scène dac- DANS LES BEAUX-ARTS 107 coucliomont, mais qui, on ivalitT. stiiiblc ropréseiitor les I^ uavoiis pas copcudaiil lirsiti- à lui


Les accouchements dans les beaux-arts, dans la littérature et au théatre . FiG. 93. — Les Parques. Groupe tiré du fronton du Paiihcnon, dont les marbresoriginaux sont au musée britannique, à Londres. —Fig. 94. — Restauration dudit groupe par >L Glésinger. de lart grec indique la position à demi couchée, en usage à Chypre,environ 480 ans av. J. G. Dans le fronton duParthénon se trouve ungroupe analogue (/?^.93,94), que lon a pris à tort pour une scène dac- DANS LES BEAUX-ARTS 107 coucliomont, mais qui, on ivalitT. stiiiblc ropréseiitor les I^ uavoiis pas copcudaiil lirsiti- à lui douutr [)lace dans notregalerie ; en effet, le caractère dIllthyie ou des llithyies (1) se con-fond assez souvtMit avec celui des Panjues, et dès lors il est diffi-cile de les disfiliguer {2).Ottfricd Millier (8) signale une /A/r///(^//./.v ou sorcière empêchant. FiG. 9). — Une déesse courolrophofc, à laquelle une femme fail offrande dun enfant. laccouchement, gravée sur une gemme dans Maffei (i) et étudiéepar Bottiger (5). Le même archéologue fait remarquer de fréquentes (1~ Ce nest quaprès Homère que ce pfroupe de divinités se simplifie etse réduit ù une soûle personne ; mais plus dun artiste continua à sins-pirer de la tradition homérique. 2) Ilithyie ou Iis Ilitliyios ne sont pas toujours des divinités secou-rables ; elles sont aussi des ilivinités fatales dont les traits percent et dé-chirent le corps de la femme en travail. Dailleurs, présidant à la venuedes enfants à la lumière, on aperçoit sans ])OÏne leur rapport avec lesParques qui président à la vie. <)n attribuait à un très vieux poètelégendaire, Ulen, un liymme à Ilithyie, dans leipiel il lui appliquaitlépithéte de EuXivoç celle qui file bien , la confondant ainsi avec laParque de la vie. — Dans la mytholo^de Scandinave, les Nornes, quicor


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