. Journal d'agriculture pratique. , le maire de Tou-louse prit un arrêté excellent, quon devraitappliquer partout dans les zones dangereuses :les fondations/ifig. iO) des maisons à con-struire, descendues jusquau sol ferme a,doivent être faites en maçonnerie à mortierde chaux; tous les murs m, y compris lesmurs mitoyens, de refend et les cloisons sé-paratives n, doivent être confectionnés enmatériaux solides et mortier de chaux, àlexclusion des briques vertes, ou briquescrues, et du mortier de terre, jusquà un ni- 244 LACHAT DKS (ilUiMiS Dli VKUS A SOlK vi>nii /; (l(|iassnnl diin nièlrp au
. Journal d'agriculture pratique. , le maire de Tou-louse prit un arrêté excellent, quon devraitappliquer partout dans les zones dangereuses :les fondations/ifig. iO) des maisons à con-struire, descendues jusquau sol ferme a,doivent être faites en maçonnerie à mortierde chaux; tous les murs m, y compris lesmurs mitoyens, de refend et les cloisons sé-paratives n, doivent être confectionnés enmatériaux solides et mortier de chaux, àlexclusion des briques vertes, ou briquescrues, et du mortier de terre, jusquà un ni- 244 LACHAT DKS (ilUiMiS Dli VKUS A SOlK vi>nii /; (l(|iassnnl diin nièlrp au moins loplan (leau r par la cnii le 2;i juin .1H7>; au-dessus du niveau h, la eonstruc-lion A j)i!ut èlre laile dune faeou le /(( majeur dun cours deau, on peutjiiendre un cerlain nomlin^ de disposilionspour alUnuer l(>s déi;;Us occasionnés par lescrues ; ainsi, quelques travaux très simplespeuvent ])rotii;er les terres contre liis afiouil-leiiients loul en les laiss;ml subnier|^or;. li^. lO. — (oiipo vorticale «riuic iiKiistm ilev(0sur mi Icrram iTion-laiilo. lexamen de ces ouvrages : lev(es, clayon-naj;es, perluisclayonnés, enrochements, plan-talions défensives, etc., demande àétre traitéà part de cet article; mais nous |)ouvons dire?ici que, dans certains cas, ces ouvragespeuvent être coml)inés de façon que la cruecolmate les terrains inondés, en eu augmen-tant la lerlilité au lieu de li>s ajipauvrir. (lu ne doit jamais élablir les lii\ liment s ru-laux dans le lit majeur dun cours deau;mais on peut y laisser certaines récolles,à lacondition de les proléger. En cerltiins points de la vallée de la (iaronne, on voit souventles pailles et les fourrages .V (lig. il) repo-sanl sur un grossier plancher h, formant unesorte de xoiilmil, maintenu [)ar des piliers «en pierr(!s. Les piliers a sont assez élevésp<iur quon puisse utiliser louvrage à la façondun hangar dcstinc entre tenqis a aluiter dumatiriel ou
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