. Le Jardin des plantes : description. le brûlant. Ouas-tu donc, chère ma-man? lu secoues la lète. Tu ne parais pas satisfaite de louvrage deton fils? LA »Ù;re. De son ouvrage, oui, sil en vient h bout; de sa destina-tion, non, ]ias du tout. Croyez-vous que je vous donne ainsi les cou-verts dargent du capitaine pour les traîner avec vous dans voscourses, el risquer de les perdre? Je ne les regarde point commeétant il nous. Que dirons-nous au capitaine si nous le retrouvons unjour? JACK. Que sans nous ils seraient au fond de la mer, oii les requinsne les lui rendraient pas ; ipie cest nous qui
. Le Jardin des plantes : description. le brûlant. Ouas-tu donc, chère ma-man? lu secoues la lète. Tu ne parais pas satisfaite de louvrage deton fils? LA »Ù;re. De son ouvrage, oui, sil en vient h bout; de sa destina-tion, non, ]ias du tout. Croyez-vous que je vous donne ainsi les cou-verts dargent du capitaine pour les traîner avec vous dans voscourses, el risquer de les perdre? Je ne les regarde point commeétant il nous. Que dirons-nous au capitaine si nous le retrouvons unjour? JACK. Que sans nous ils seraient au fond de la mer, oii les requinsne les lui rendraient pas ; ipie cest nous qui les avons sauvés, et quenous ne somiius pas non ]iliis obligés de les rendre. LA Mi;RE. Tu tassocies donc aux rec|iiins, mon cher petit? Jes])èreque lu as une plus haute idée de ton être, et, si lu y penses bien, luverras queu équité et justice nous ne devons rei;arder ces couverts,et tous les objets ipii ont une valeur réelle, que comme un dépôt quinous est confié, et ipic nous devons tâcher de conserver. Je crois. Jo donnai un coup de mon acier, ot dans linstant la moelle sècheet spongieuse fut allumée. bien ecpeiidaiil i|ue , les ayaiil sauvés aux dépens de notre vic\ nousavons le droit de nous en servir pour nolr( usaijc piiidant que noussommes ici, dénués de tout secours; mais, si nous trouvons jamaisceux à qui ils appartieniiciil, nous devons lis leur rendre. IBITZ. El je crois que iiionsieur le capitaine, tout eapilaine quilest, ne siu-a pas fâché de les retrouver dans un magnihqiie éliiide peau de chat tigré (pie je lui donnerai pour conserver son argen-terie! » , Je riais de loiiMHil de imui pelil laiilaron, lorsquun coup île leiise fit entcndic siir larbic de noire eliambre il coucher, el deux oi-seaux toinbirciit presque il nos pieds. Nous fûmes à la fins ellrayes etsurpris, el tous les regards se portèrent en haut: alors nous vîmes Paris. Ty|iof;rapIiic Piiui Irrrps. inipriiiipiir!^ (le riàiipcifiir, rue de \uu(;irdi(J, Mi- LE RO
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