Traité d'anatomie humaine . Fig-. 332. Schéma indiquant, sur une coupe transversale,le mode de pénétration des racines posté-rieures dans la moelle épinière. (Grossissement de la figure 336, A.) 1, racine postérieure, avec : 2, son faisceau de fibresgrêles; 3, son faisceau de fibres grosses. — 4, 4, zonelie Lissauer. — o, corne postérieure. — G, zone cornu-radiculairc, de laquelle séchappent un certain nombrede fibres courtes se rendant à la corne postérieure. MOELLE EPINIERE 433 elles appartiennent, quelles soient fines ou grosses, toutes les fibres radiculairespostérieures, une fois arrivées


Traité d'anatomie humaine . Fig-. 332. Schéma indiquant, sur une coupe transversale,le mode de pénétration des racines posté-rieures dans la moelle épinière. (Grossissement de la figure 336, A.) 1, racine postérieure, avec : 2, son faisceau de fibresgrêles; 3, son faisceau de fibres grosses. — 4, 4, zonelie Lissauer. — o, corne postérieure. — G, zone cornu-radiculairc, de laquelle séchappent un certain nombrede fibres courtes se rendant à la corne postérieure. MOELLE EPINIERE 433 elles appartiennent, quelles soient fines ou grosses, toutes les fibres radiculairespostérieures, une fois arrivées dans la zone de Lissauer, se bifurquent chacune,sous un angle de 150 à 160° (fig. 333) en deux branches, lune ascendante, lautredescendante : a. Branches — Les branches descendantes (fig. 334,7) extrême-ment grêles, suivent de haut en bas la zone de Lissauer ou môme la partie avoisi-nante du faisceau de Burdach. Après un trajet qui est toujours très court, quel-. Fig. 333. Coupe longitudinale de la moelle dun embryon humain de 20 centimètres, pratiquée au niveaudu sillon collatéral postérieur pour montrer le mode de terminaison des racines postérieures(daprès Lenhossék). «, f(, racines postérieures (faisceau interne). — 6, 6, leur bifurcation à leur entrée dans la moelle. — c, fibre lon-gitudinale du faisceau de Burdach. — rf, d, d, fibres collatérales. ques centimètres seulement, elles sinflechissent en avant et en dehors, pénètrentdans la corne postérieure et sy terminent chacune par une arborisation libre,laquelle entre en relation, mais toujours par simple contact, avec lun quel-conque des groupes cellulaires de cette corne, tout particulièrement avec les cel-lules de la substance gélatineuse. Ces fibres descendantes, révélées à la fois parla méthode de Golgi et par les dégénérescences pathologiques (Oddi et Rossi,Marixesco, Déjerixe et Thomas), ne forment pas de faisceaux individualisés et com-


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