. Dictionnaire de physiologie. Physiology. 732 CERVEAU. 4° Par suite de l'atrophie des racines olfactives, l'espace quadrilatère se déprime et devient l espace perforé ; la vallée de Sylvius se déprime profondément et son extrémité externe se met en continuité avec la scissure de Sylvius. Néanmoins, la continuité du lobe du corps calleux et du lobe de l'hippocampe est maintenue en avant par les deux racines olfactives blanches. Les belles recherches de Broga dont nous venons de résumer les indications physio- logiques n'ont pas été sans laisser subsister certaines difficultés a


. Dictionnaire de physiologie. Physiology. 732 CERVEAU. 4° Par suite de l'atrophie des racines olfactives, l'espace quadrilatère se déprime et devient l espace perforé ; la vallée de Sylvius se déprime profondément et son extrémité externe se met en continuité avec la scissure de Sylvius. Néanmoins, la continuité du lobe du corps calleux et du lobe de l'hippocampe est maintenue en avant par les deux racines olfactives blanches. Les belles recherches de Broga dont nous venons de résumer les indications physio- logiques n'ont pas été sans laisser subsister certaines difficultés au sujet desquelles mes propres recherches m'ont conduit (1893) à compléter sur divers points la théorie de mon regretté maître. Il s'a- git en quelque sorte de la disparition du rôle physiologique primitif du grand lobe limbique et de lafvision anatomi- que et physiologique de la partie restante de ce lobe, dans l'espèce humaine, avec les lobes adjacents k la circon- volution du corps cal- leux. FiG. 60. â Face interne d'un hémispliérc de cheval (d'après Leuret). ^ ll â i i- ^ ' '^ ' Cette circonvolution On voit à la partie antérieure du lobe du corps calleux un grand sillon longi- «'p^t âââ tniiinnrs dp tudinal qui reparaît parfois chez l'homme où il constitue la formation fronto- " J. limbique. pourvue de plis chez les osmatiques gyrencé- phales. Broc.\ signale lui-même sur le lobe du corps calleux du cheval un sillon lon- gitudinal, mais très superficiel. Sir W. TuRxNER a mentionné ce sillon (1890) chez le che- val et, d'après une figure d'OwEN, chez le rhinocéros. Tenchini et Negrini (1889) ont décrit également des sillons chez les équidés et les bovidés, mais sans y attacher d'im- portance. Enfin G(.\coMiNi a noté chez l'homme, en passant, la présence de sillons au même endroit. Beauregard (1883, ol3) a noté le plissement considérable du lobe d


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