. Contributions à la faune ornithologique de l'Europe occidentale : recueil comprenant les espèces d'oiseaux que se reproduisent dans cette région ou qui s'y montrent régulièrement de passage, augmenté de la description des principales espèces exotiques les plus voisines des indigènes ou susceptibles d'ètre confondues avec elles, ainsi que l'énumération des races domestiques. Birds. â 135 â Algérie, Acc. (Loche). Tanger, Sept, et Oct. (H. Irby), Moyenne Egypte, (v. Heugl.). Sibérie. (Taczan.) Inde, Hiv. (H. Irby). Allahabad, observé le 8 Mai 1876. (J. Gockburn, Str. Feath. p. 509
. Contributions à la faune ornithologique de l'Europe occidentale : recueil comprenant les espèces d'oiseaux que se reproduisent dans cette région ou qui s'y montrent régulièrement de passage, augmenté de la description des principales espèces exotiques les plus voisines des indigènes ou susceptibles d'ètre confondues avec elles, ainsi que l'énumération des races domestiques. Birds. â 135 â Algérie, Acc. (Loche). Tanger, Sept, et Oct. (H. Irby), Moyenne Egypte, (v. Heugl.). Sibérie. (Taczan.) Inde, Hiv. (H. Irby). Allahabad, observé le 8 Mai 1876. (J. Gockburn, Str. Feath. p. 509 1876. Descrip. p. 510) Chine. Formose. Geylan. fv. Heugl.) MÅurs. â « G'est un oiseau très agile et très farouche Il court très « vite en tenant son corps horizontal et s)n cou allongé. Il ne se con- te tente pas d'explorer le rivage , il s'avance encore assez loin dans l'eau, « et lorsque le fond lui manque, ilse jette à îa nageet se meut dans tous « les sens. Aussi ses plumes participent-elles à la nature de celles de « plusieurs oiseaux aquatiques; elles sont très serrées, très compactes, « et lui forment un vêtement impénétrable à l'eau. » (L. Brehm, Beitr. III, p. 488). « Il passe ici (en Savoie) de jour ou de Il vole haut et « répète à chaque instant son cri de réclame, qui est un sifflement aigu que « l'on entend de loin Il marche assez souvent dans l'eau jusqu'aux « plumes des cuisses et du ventre, et becquette alors à la surface les « petits Insectes. Il plonge par moments la tête pour saisir une proie « qui lui échappe, et la relève aussitôt en tenant le bec haut, comme « pour respirer ou pour se débarbouiller. (Bailly). « Son cri d'appel se composa de trois syllabes tjulit, que l'on peu « noter ainsi:. (Droste-Hulshotf, Yogelwelt Borkum, p. 183). Nourriture. â Insectes, surtout les Insectes, aquatiques, petits mol- lu
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