Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres, depuis son establissement jusqu'à présent : Avec les Mémoires de littérature tirez des registres de cette Académie depuis son renouvellement jusqu'en 1710 . cmoins, ledroit que leurs aiccndants ;uiioient eu à la fucceflion dAr-chiadas, sil navoit pas adopte un tieulinien. Les Loix de Solon ne permettoient pas aux Adoptifs dedi/pcfer par teftament, des biens qui leur efloient échi;s enconfequencedu bcnctice de lAdoption, & ne les regardoientque comme des ufufruitiers, qui pourroient ufer, non abufêrde ce qui eftoit fous la prote&
Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres, depuis son establissement jusqu'à présent : Avec les Mémoires de littérature tirez des registres de cette Académie depuis son renouvellement jusqu'en 1710 . cmoins, ledroit que leurs aiccndants ;uiioient eu à la fucceflion dAr-chiadas, sil navoit pas adopte un tieulinien. Les Loix de Solon ne permettoient pas aux Adoptifs dedi/pcfer par teftament, des biens qui leur efloient échi;s enconfequencedu bcnctice de lAdoption, & ne les regardoientque comme des ufufruitiers, qui pourroient ufer, non abufêrde ce qui eftoit fous la prote<5tion des Loix, pour un tvcne-mtnt pareil à celuy dont nous venons de parler. Celuy qui vouloit jouir du bcnttîce de lAdoption, devoiteftie poilt lur le regiltre appelle ç^TOfcof, &i cette cérémoniefe taifoit à un certain jour de fcte avec grand appreil. Ceuxde la Tribu dans laquelle il eftoit enrollé, eftoient appeliezpour alMer à cet enregiflrement, ôc ils portoient leurs iu{--fiages, après que les Députez avoient examiné (crupuleufe-mentsil ne manquoit aucune formalité aux acfles, i\ le fujetavoit toutes les qualitez requifês par les Loix, Si. sil en avoitrempli toutes les DES TvSCRIrtlONS ET BeLIFS LeTTRCS. SUR î r s P I R A T F s. Cl* éRON ilit cil !^ lu tjI ijiK.* Ifi Pirates (diii i .) comnniiij ilc lojtci Icj Nations, mais M. L i, 17)4. Auteur de ces rtmaipiw, explique plus partiajli<fTenKnt icc|uc nous entcnjors p ir le mot de Pintes : ce font, dit il, i\{:ihommes qui arment i:n ou plufieurs bâtiments pour faire descourlc» fur mer, (.iit< cHre avoucv. par aucun Souverain. Quelques tJtym îli^^irtes, parmi Icfquds M. BlancharJcompte les ^itcun ilu DidionaircilcTrévoux, dérivent cenom du mot Grec irif, qui (\gn\\icftu, à caufc que les Piratescm coutume de mettre le feu aux navires dont ils (ë font ren-dus maîtres, après les avoir délârmez & pillez, & de mettretout à Jeu & à (ang dans les habitations des ides ou d
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