. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 3j8 STiiri:ri iti: si;Aiiti; i»i; \ I' trouve (lig. :iOO, 501), comme dans les genres éludics plus haut, des cor- dons feuilletés ou des lames de lil)cr ((ig. îiOO, />), plus ou moins profon- dément enclavés dans le bois; seulement, ils restent en continuité avec le lilxM" péripliéri<|iie, au lieu de s'isoler, comme ceux des Slrychnos, à linlérieur du hois. Sur la section trans
. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 3j8 STiiri:ri iti: si;Aiiti; i»i; \ I' trouve (lig. :iOO, 501), comme dans les genres éludics plus haut, des cor- dons feuilletés ou des lames de lil)cr ((ig. îiOO, />), plus ou moins profon- dément enclavés dans le bois; seulement, ils restent en continuité avec le lilxM" péripliéri<|iie, au lieu de s'isoler, comme ceux des Slrychnos, à linlérieur du hois. Sur la section transversale, ces portions libériennes, saillantes dans le cylindre ligneux, oITrentla l'orme de coins triangulaires. (\\\i vont d'ordi- naire en s'élargissaut de dedans en dehors, à mesure que la tige s'accroit. l-eur nombre est variable et il augmente souvent avec l'âge, auquel cas les entailles libériennes principales, plus anciennes, alternent irréguliè- rement» avec d'autres plus courtes, situées vers la périphérie du corps ligneux (lig. oOl, A. c). II. — l)(''j)!;iooiu('iil partiol <lo l'asslso g'j'nôr.'Ui'icM'. — Dans plu- sieurs Lianes de la lamillc des Sapindacées (), certains fais-. Fis- &0'2. — (loupf tninsvcrsale (l'iine tige de Sjipindacrc. — a. rliytidome ; 6, écoreo ; c. liber; d. cylindre ligneux centrai: /', cylindres libéruligneux périphéiiques, d'âges divers (réduit). ceaux primaires de la tige se trouvent situés beaucoup plus profondé- ment que les autres et en correspondance avec les sillons longitudinaux superficiels du membre. Or, l'assise génératrice libéroligneuse, au lieu de passer régulièrement, comme dans le cas normal, par tous les faisceaux, ce qui lui donnerait une forme des plus contournées, relie simplement entre eux les faisceaux les plus profonds, grâce à des raccords nés du cloisonnement d'une assise périphérique de la moelle : cette assise génératrice donne ensuite,
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