Le compere Mathieu, ou Les bigarrures de l'esprit humain . être prispar le Diable , ni de mourir fans con-fefîion. — Pour dHéréfie , reprit leCompere^]Q protefte quil ny en a point :il elt vrai que les Philofophes ne vontpas toujours à la MeiTe j mais la bonnevolonté e(l réputée pour le fait, & ilny a point dexemple quaucun deuxait été pris par le Diable : quant à votreRofaire, il vous fera libre de le récitersuffi fouvent que lenvie vous en pren-dra. Au refte , continua, t-il, commela Philofophie eft une fcience dont I^s MATTHIEU. 43 principes ne font point encore bien dé-veloppés ; quil ny a
Le compere Mathieu, ou Les bigarrures de l'esprit humain . être prispar le Diable , ni de mourir fans con-fefîion. — Pour dHéréfie , reprit leCompere^]Q protefte quil ny en a point :il elt vrai que les Philofophes ne vontpas toujours à la MeiTe j mais la bonnevolonté e(l réputée pour le fait, & ilny a point dexemple quaucun deuxait été pris par le Diable : quant à votreRofaire, il vous fera libre de le récitersuffi fouvent que lenvie vous en pren-dra. Au refte , continua, t-il, commela Philofophie eft une fcience dont I^s MATTHIEU. 43 principes ne font point encore bien dé-veloppés ; quil ny a que le tems Silulkge qui puilfent en procurer une par-faite connoiifance; ne vous étonnez pasde me voir fouvenc parler & agir ir-»conféquemment : cetl le propre desPhiloibphes. Ce qui vous paroitra unecontradi6lion en moi, fera une marqueinfaillible dun nouveau degré de coii-noiifance que jaurai acquis. — En finif-faut ces mots, le Compère fe leva, nousréprimes notre route , ik trois jours^près nous arrivâmes à Farts». CHÀ- 1^4 LE COMPERE c H A r 1 r R F 1 \-. *t^ 1 V N T .rrives à Pearis, te Omt^jiLrf trif loua un oibtnet au cinquièmec V win Viaaigrier de la Rue de la Htâr^ Comme il tCy avoit qu\»rî ^r , }t\*xiVtv^^c couchoicntdèdaro \ 1-u- I-^ : > ; < cU notre arrivée,l: r - nou$ en là! Cou»-^r :, nous ier :^ Jdns une ville oùi V : • VOUS Ycnei de K . \mquer ï?^ rr^îîç *-? • .:;.:,•:?.. .\ m:fo (!^ dévérolifë tous les Moi: s .les N vn^i>hcs * les LaqiKsis > ^ lc> ^titv.\lairrc« de i-joris > les Meraa:tifimu rem|>orterotent encore fur moi :<1 fuffit que ma méthode ne Toit point MATTffTEU. 4y la mctliodc ret;uc, poui (|iic je Oiiî» coii-trcclit, (ICinciiti , hue , hcrnc , iililc ,pcilccutc, (Se peut-être lapul(i. Au rcltc,« ) ce iieit;
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