. Le Monde moderne. pas de recommencer la batailledont les moins hardis sortent toujoursNainipieurs ; après quelques bains, deslimorés des premiers jours nhésitent plus,il, de leurs brassées Iriompbanles, ilsMU)nlrent (piils ont |)ris droit de cité ellemporlé la vicloiie sur léléiuent salé! liien nesl charmant commi de voir les|Ktits quon envoie ,i la nier, quelques-unsM)ut loul maif^richons sous lein- tricot troplarge; ils ont une vraie inquiétude en niel-lant le pietl dans les premières mares duhord : •• (lest trop froid!... Je ne veuxpas!... Ce sera pour ilemain !... et que■~ais-je encore?
. Le Monde moderne. pas de recommencer la batailledont les moins hardis sortent toujoursNainipieurs ; après quelques bains, deslimorés des premiers jours nhésitent plus,il, de leurs brassées Iriompbanles, ilsMU)nlrent (piils ont |)ris droit de cité ellemporlé la vicloiie sur léléiuent salé! liien nesl charmant commi de voir les|Ktits quon envoie ,i la nier, quelques-unsM)ut loul maif^richons sous lein- tricot troplarge; ils ont une vraie inquiétude en niel-lant le pietl dans les premières mares duhord : •• (lest trop froid!... Je ne veuxpas!... Ce sera pour ilemain !... et que■~ais-je encore? mais le père .lacques, leniailre baigneur, a bien vile interrompule discours, car de ses gros bras il a prisle pelil réiif el la emmené .i 10 nièlresplus loin; là, dun seul coup, il la plongéloul onliei- dans leau : alors ce sont desciis, une gymnasli(iue de loul le corps, lespetites jiindies, les pelils bras sugiloni fol-lonienl sans inu- linslincl de la conserva- \Ai liT SPOHTS. BAIN A LA COUDE tiou perde ses droits, car notre héros nemanque jamais de saccrocher à son ce temps-là, sur le sable, la ma-man est twute palpitante de ce premierexploit de son Amour! Elle fe rappelle ;»force cris, maître Jacques le lui amène,elle lemmitoufle dans un immense peignoiret le remporte encore tout sanglotantjusque dans la cabine où un bain de piedchaud, une bonne friction et un gâteauont vite fait oublier les émotions de cettepremière journée. Le soir, notre coura-geux baigneurne manque jamais de prendreun air triomphant : « Tu sais, bon papa, cematin, jai pris un bain de Il y a dautres scènes encore et pas desmoins intéressantes. La dame qui se baignepar chic. Son costume est impeccable, illecouvre un corset quon refuse ne faut pas que la coiffure se défasse; lagrande difûculté pour ce genre de bain estde savoir conserver son sang-froid, navoiraucune émotion, ne pas abimer lesthétiquegénéral de la pr
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