DéfenseurOuvrage religieux, politiques et littéraire . ines de» nos gardes de recevoir aux états darchers de leurs)) compagnies, aucunsqui ne soient gentilshommes,)) capitaines ou soldats signalés. » Cest Louis-le-Grandp dit le P. Daniel, qui a rais les gardes ducorps en plus grand honneur que jamais, et il napas eu à sen repentir, eu égard à la valeur aveclaquelle il en a été servi. Parler de la valeur de la maison du loij cestrappeler les miracles de la valeur françoise. Le combat de Leuze fut un véritable escadrons, commandes par le maré-chal de Luxembourg, la plupart de


DéfenseurOuvrage religieux, politiques et littéraire . ines de» nos gardes de recevoir aux états darchers de leurs)) compagnies, aucunsqui ne soient gentilshommes,)) capitaines ou soldats signalés. » Cest Louis-le-Grandp dit le P. Daniel, qui a rais les gardes ducorps en plus grand honneur que jamais, et il napas eu à sen repentir, eu égard à la valeur aveclaquelle il en a été servi. Parler de la valeur de la maison du loij cestrappeler les miracles de la valeur françoise. Le combat de Leuze fut un véritable escadrons, commandes par le maré-chal de Luxembourg, la plupart de la maison duroi, en battirent soixante-quinze, malgré une viverésistance, et leur prirent quarante é médaille a transmis à la postérité cet éton-nant fait darmes. Au pas de Suze, une compagnie de la maisondu roi, força les trois relranchemens, lépée à lamain;ettLouisXlIl,quiyétoit enpersonne, dit « quefc ce qui lui plaisoit toujours dans ses gardes, cétoit» cette gaieté célère avec laquelle ils marchoient à. (. 17 ) )) tout ce quon leur disoit dattaquer,des Dunes, le grand Condé les fitfois par des corps bien supérieurs a(6. nomlpouvoir les déposter. On sait, au siège de Lille, eilélonnement du gouverneur, qua^capitulation, de voir que la pluparltoient emparés de la porte quil livnjeunes gens de dix-sept, dix-huit ou vingt ans. Au siège deMaëstrich, Pélisson dit que ceux de lamaison qui revinrent de lattaque dune demi-luneavoient tous leurs épées sanglantes jusques auxgardes, et faussées des coups quils avoient donné siège de Condé, lardeur et le feu du couragede la maison du roi décidèrent des affaires que lesang froid et la prudence navoieut pu décider.« Je ne sais, dit un témoin oculaire_, si lhistoire four-nit bien des exemples dune action si brusque etsi heureuse, et de la prise, en si peu de temps,dune grande et forte ville, qui ne manquoit dei-ien pour sa défense. Tout en tient du prodige,et tout fut


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