. Histoire naturelle des oiseaux . ^^ , qui nous ont été envoyées de ces i*———; -.—, -^—.^ -; ——• * Voyei les Planches enluminées, n.^ 476 ^ fig. T. (cj il nous paroît que cet oifeau eft ie mêmeque celui que M. Edwards a donné fous le nomde pie-gnèche rouge ou roujjè huppée. « Cet oifeau y9>dït-ilj sappelle Carach^ dans ie pays de Ben*r> gaîe, & dTTTére de nos pie grièches par une huppe99 quMi porte fur ia tête, n mais cette diiférence eftbien fégère, car cette huppe nen eft pas une,c^eft feulement une difpofition de plumes qui pa-roiflent hériflees comme celles du geai loifquil eften co
. Histoire naturelle des oiseaux . ^^ , qui nous ont été envoyées de ces i*———; -.—, -^—.^ -; ——• * Voyei les Planches enluminées, n.^ 476 ^ fig. T. (cj il nous paroît que cet oifeau eft ie mêmeque celui que M. Edwards a donné fous le nomde pie-gnèche rouge ou roujjè huppée. « Cet oifeau y9>dït-ilj sappelle Carach^ dans ie pays de Ben*r> gaîe, & dTTTére de nos pie grièches par une huppe99 quMi porte fur ia tête, n mais cette diiférence eftbien fégère, car cette huppe nen eft pas une,c^eft feulement une difpofition de plumes qui pa-roiflent hériflees comme celles du geai loifquil eften colère, & que M. Edwards avoue lui-mêmequ^il na vue que dans Toifeau mort : en fortequon ne peut pas alTurer fi ces plumes navoientpas été redrefiees par quelque froiflement avant ouaprès la mort de ioifeau, ce qui eft bien différentdune huppe naturelle. La preuve de, ce que dire,.ceft quon voit une femblable -*-<^ y^oyei ks Planches enluminées, n,^. ,pa^J4. LBCORCHEUIt. de VÈcorcheur, 8| deux clrmats fi éloignés Fiin de Taiître, &qui néanmoins fe reffembîent affez pour neparoitre que le même oifeaUj&qui, dansle réel, ne font enfemble qu une variété denotre écorcheur, à ia femelle duquel cettevariété relTemble prefquen tout. huppe fur ïa tête de îa pie-grièche bîanche <Sc noirede Surinam, dont le même M. Edwards a donnéia ligure dans ia première partie defes Glanures (a):or nous avons cette efpèce au Cabinet du Roi, &ii eft certain quelle na point de huppe; désîorsnous ne pouvons nous empêcher de préfumer quecette apparence de huppe, ou plutôt de plumeshérifTées fur fa tête, qui fe trouve dans ces deuxpie-grièches de M. Edwards, ne foit une difpo-fition accidentelle ou momentanée, & qui proba-blement ne fe manifefte que quand loifeau eft encolère; ainli, nous periiftonsà croire que cette pie-grièche de Bengale neft quune variété de lefpècede ia pie-grièche roulle ou de i
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