L'illustration : journal universel . ous avonspréféré être fidèle à la vérité,et, quelque petitquil soit, faireici un tableau dhistoire, et non _ pas un tableau de fantaisie. g — Nous avons donc évité lesredites éternelles, ces lieuxcommuns sonores qui prêtentsi bien à la phrase, pour racon-ter simplement les chosossim-ples en elles-mêmes, et quinous semblent étranges seule-ment par le contraste avecnolrecivilisationplusavancé dautres vous chante-ront le beau ciel dun pays oùil pleut trois jours sur cinq;le climat rigoureux de cesâpresrivages où le myrte fleurit enpleine terre à côté du


L'illustration : journal universel . ous avonspréféré être fidèle à la vérité,et, quelque petitquil soit, faireici un tableau dhistoire, et non _ pas un tableau de fantaisie. g — Nous avons donc évité lesredites éternelles, ces lieuxcommuns sonores qui prêtentsi bien à la phrase, pour racon-ter simplement les chosossim-ples en elles-mêmes, et quinous semblent étranges seule-ment par le contraste avecnolrecivilisationplusavancé dautres vous chante-ront le beau ciel dun pays oùil pleut trois jours sur cinq;le climat rigoureux de cesâpresrivages où le myrte fleurit enpleine terre à côté du figuierchargé trouverez ailleurs lesbruyères roses, les caps den-telés, les pierres druidiques,les belles cathédrales, les cloî-tres en ruines, les vieux don-jons croulants :nousavonsan-noncé lintention de faire con-nailrequelques-unsdes usagespopulaires de la Bretagne;puissions-nous être parvenusa y intéresser un moment lo1 leur! H.!/fiUII><- j8~ ( Les Funérailles. ). (Lo Chtriot lo la Mort.) 10 LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. Recherches sue lEponge deau douce. (3« Article. — Voir t. IV, p. 235 et 283.)De même quelhistoire naturelle du polybe connu et illus-tré sous le nom dHydre, celle de lEponge deau douce quenous avons vue se reproduire par bourgeons, par œufs et parboutures a dû exciter la curiosité et exercer de plus en plus lasagacité des naturalistes danslélat actuel delà science. Nousavons mis sous les yeux de nos lecteurs les Iniils les plus pi-quants deléludo delHydrelVoim . \ul. III, p le et n58, quecesanimaux, déjà trésvoisins desvégétaux et ressem-blant à une fleur radiée, sendislinguont netlementen raisonde ce que leurindividualité est simple, isolée, agame, cest-à-dire sans organes sexuels spéciaux, et parce que cette in-dividualité isolée ne tend jamais à se réunir et a se confon-dre avec ses semblables. Ce point de doctrine, dan- le rè-gne animal, est la de plus


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