. Les colonies français. tres et 1 mètre. Le ciel est généralement pur et les nuages napparaissent quaumoment des tornades. Les vents soufflent de lest à louest, pendant la saison sèche, etde louest à lest pendant lhivernage. Durant la saison sèche les températures maxima. surtout dansles régions éloignées de la mer, sont sensiblement plus élevées quedans la zone équatoriale. le thermomètre monte parfois à 45° etmême 50° lorsque souffle le vent dest, chargé de poussières desable brûlant. Les températures minima sont par contre, narfoistrès basses, elles atteignent 2 ou 3 degrés au-dessus de 0


. Les colonies français. tres et 1 mètre. Le ciel est généralement pur et les nuages napparaissent quaumoment des tornades. Les vents soufflent de lest à louest, pendant la saison sèche, etde louest à lest pendant lhivernage. Durant la saison sèche les températures maxima. surtout dansles régions éloignées de la mer, sont sensiblement plus élevées quedans la zone équatoriale. le thermomètre monte parfois à 45° etmême 50° lorsque souffle le vent dest, chargé de poussières desable brûlant. Les températures minima sont par contre, narfoistrès basses, elles atteignent 2 ou 3 degrés au-dessus de 0. Durantlhivernage, les variations du thermomètre sont moindres, celui-cine dépasse guère 36 ou 37° et ne descend pas au-dessous de 15°. Mais pendant cette partie de lannée la chaleur accompagnéedhumidité, est infiniment plus pénible à supporter que pendant lasaison sèche, cest lépoque où les Européens sont le plus fréquem-ment sujets à la fièvre et aux accidents bilieux. ] 18 —. Jeunes filles Peulhs (Dahomey). - 119 — Races et langues. — Il est à peu près impossible aujourdhui dedéterminer par régions les différentes races qui composent la popu-lation de lAfrique Occidentale. A lexception des peuplades de raceberbère, qui, bien que métissées de sang noir, sont restées à peuprès cantonnées sur la rive droite du Sénégal et la rive gauche duNiger, toutes les autres races se sont tellement mélangées entreelles, de tels croisements se sont produits, quils nexiste pour ainsidire plus un nègre qui puisse être considéré comme appartenant àun type nettement déterminé. A la suite dune part du grand mouvement migrateur qui sestproduit de façon constante de lest à louest, dautre part des expédi-tions incessantes faites jadis par des chefs avides de conquêtes, dontle butin le plus clair consistait à prendre des esclaves qui étaientensuite transportés au loin, en masse ; enfin sous linfluence delIslam qui peu à


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