. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. ET DISTOMIDAK. 17 testicule Ibnne uud douzaine environ de grosses vésicules ; le spermiducte volumineux longe le rectum. Chez les femelles, l'ovaire montre un nombre d'ovules assez considérable mûrissant simultanément. Je n'ai pu observer la poche incubatrice qu'à l'état de complet développement. Elle est pédonculée, légèrement enroulée à son extrémité postérieure et renferme une douzaine d'embryons, dont les plus jeunes sont à l'extrémité aveugle. Cet aspect a été rencontré et figuré p


. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. ET DISTOMIDAK. 17 testicule Ibnne uud douzaine environ de grosses vésicules ; le spermiducte volumineux longe le rectum. Chez les femelles, l'ovaire montre un nombre d'ovules assez considérable mûrissant simultanément. Je n'ai pu observer la poche incubatrice qu'à l'état de complet développement. Elle est pédonculée, légèrement enroulée à son extrémité postérieure et renferme une douzaine d'embryons, dont les plus jeunes sont à l'extrémité aveugle. Cet aspect a été rencontré et figuré par Herdman (cf. 1886, PI. 7, tig. 5, 11, 13) et par Mighael- SEN. Il est dilïerent de ce que j'ai vu chez Colella cerebrlforniU où, dans les connus que j'ai examinés tout au moins, il n'y avait pas de groupement des embryons. Bien que ceux-ci soient d'âge inégal, ils finissent par être tous simultanément à l'état de têtards, mûrs. La ponte semble se faire par séries. Un ascidiozoïde ayant une poche incubatrice pleine, ne m'a jamais montré d'ovules prêts à être pondus, mais seulement à des états jeunes. On peut se demander en outre si les têtards n'achèvent pas de mûrir parfois, après la régression de l'ascidiozoïde dont ils proviennent. Car j'ai constaté, comme Mighaelsen (190*7, p. 51, Col. Gaimardi), des poches incubatrices isolées, les individus auxquelles elles appartenaient ayant disparu. Ces Colella doivent se comporter comme C. cerébriformh: mais l'étude précise de ces rythmes exige- rait des éludes faites sur place. Les têtards (fig. VII) ont tous les mêmes caractères que chez Colella cerebrifornm. La forme des trois papilles adhésives est la même ; ils ont quatre rangées de trémas à la branchie et un seul organe sensoriel, l'otolithe. J'ai cher- ché attentivement s'ils présen- taient des bourgeons et suis arrivÃ


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