. La Lecture. stive et TOTOTE 105 [J sarrêta inquiet du ton de la tante Claire, mais déjà elle tait retournée vers Charlotte et causait avec elle sans plus ccuper de son neveu. Vers dix heures, M^ dArgonne vint montrer sa toilette et dire ieu suivie de son mari, du marquis de Morières. dAntin et de c q u e s M i r - )nt, auquel e Dorsay de- Lnda, jouant nquiétude, lis de sa plus [lailleusevoix: — Eh bien?... — Khbien, —Dondit-il sansîndre pjarde àitonation —e va ça ne•a rien. La tante Clairetondit, conti-ant à blaguer: — EspéronsômonDieu!. — Il faut par-— dit M


. La Lecture. stive et TOTOTE 105 [J sarrêta inquiet du ton de la tante Claire, mais déjà elle tait retournée vers Charlotte et causait avec elle sans plus ccuper de son neveu. Vers dix heures, M^ dArgonne vint montrer sa toilette et dire ieu suivie de son mari, du marquis de Morières. dAntin et de c q u e s M i r - )nt, auquel e Dorsay de- Lnda, jouant nquiétude, lis de sa plus [lailleusevoix: — Eh bien?... — Khbien, —Dondit-il sansîndre pjarde àitonation —e va ça ne•a rien. La tante Clairetondit, conti-ant à blaguer: — EspéronsômonDieu!. — Il faut par-— dit M. de irroy — nousLvons plus ilus faut unea 11 (le h (Mireu r aller demanda : (( Resterons-nous très tard ?... » — Ça dépendra de M je suis tout disposé àîter aussi tard quil hii Morières dit: — Nous ne re\ ienclrons pas avant quatre heures, je parie?D(^lMMit contre la porte du billard, Paul (Nontait tout >«:eu-. %.xu-^ rnis,(lli (lit 11 lia SOS clieveux soyeux ol l<mrds. 106 LA LECTURE ILLUSTRÉE riant. Son frère le re^^arda et, dun ton quelque peu pointu — Tu os bien gentil de tinquiéter de Jeanine, elle va mieu3je te Paul balbutia très rouge : — Javais entendu que tu le sapprocha de M^*^ Dorsay : — Tante Claire, jai fait promettre à Jeanine que si elle étaplus souffrante, elle vous je vous demande pardcde ce dé ?^{mo Dorsay répondit, avec une petite lueur de gaîté dans sjolis yeux gris : — Ne vous inquiétez pas de ç je suis bien sûre quelle ne jdérangera ^i — Je lespère bien aussi, mais — Si nous ne partons pas — dit doucement le marquis — noarriverons quand on sen Quand elles furent seules, la tante Claire et M de Barroy r(|tèrent silencieuses un instant. Chacune savait ce que lautre av;à lui dire, et toutes les deux comprenaient quil valait mieuxpas parler. La


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