Gazette des beaux-arts . es semble chose facile et naturelle :nous devons cependant des compliments à M. Bail, peintre éméritedorfèvreries; à MM. Rousseau, Fouace et Bergeret, qui travaillentdans les comestibles, enfin à Mrae Villebesseyx et à MM. Cli. Thomas,Lecreux et L. de Schryner ; leurs tableaux de fleurs reposentagréablement les yeux des visiteurs que la promenade au Salon sou-met à une rude épreuve. Dans un second article nous examinerons les autres sections delExposition. Nous venons de parcourir les salles de la peinture; leplus gros de notre tâche est terminé. Ce nétait pas une minc


Gazette des beaux-arts . es semble chose facile et naturelle :nous devons cependant des compliments à M. Bail, peintre éméritedorfèvreries; à MM. Rousseau, Fouace et Bergeret, qui travaillentdans les comestibles, enfin à Mrae Villebesseyx et à MM. Cli. Thomas,Lecreux et L. de Schryner ; leurs tableaux de fleurs reposentagréablement les yeux des visiteurs que la promenade au Salon sou-met à une rude épreuve. Dans un second article nous examinerons les autres sections delExposition. Nous venons de parcourir les salles de la peinture; leplus gros de notre tâche est terminé. Ce nétait pas une mince besogne SALON DE 1886. 479 de faire un choix parmi les 2,500 tableaux exposés; nous avons dûpasser plus dune fois à côté doeuvres intéressantes sans les voir :le remaniement des tableaux, qui a lieu au moment où nous écrivons,nous permettra de reconnaître nos erreurs et de rendre justice auxpeintres de talent que nous aurions oubliés. Il y aura donc un cha-pitre des repentirs. ALFRED DE ANDREA MANTEGNA (troisième article . )


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