Les arts dans la maison de Condé . no IJS ARTS DANS LA MAISON DE CONDÉ Vauhan lui-même fui mis à C()iilrii)ulinn parle Grand Condé, comme en lémoignela lettre suivante de lingénieur Voihuid, écrite de Lille le 22 janvier JG83 : « M. deVauban nous a chargés, à son départ, de travailler incessamment à faire faire undemi-cercle avec toutes les ferrailles nécessaires à un pont à bascule que V. A. ademandé à M. Le Pellclier (intendant de Flandre)... On ne discontinue point dy tra-vailler, et V. A. aurait lté servie passé longtemps si M. Le Pelletier navait pointaimé mieux attendre après M. de Vauba


Les arts dans la maison de Condé . no IJS ARTS DANS LA MAISON DE CONDÉ Vauhan lui-même fui mis à C()iilrii)ulinn parle Grand Condé, comme en lémoignela lettre suivante de lingénieur Voihuid, écrite de Lille le 22 janvier JG83 : « M. deVauban nous a chargés, à son départ, de travailler incessamment à faire faire undemi-cercle avec toutes les ferrailles nécessaires à un pont à bascule que V. A. ademandé à M. Le Pellclier (intendant de Flandre)... On ne discontinue point dy tra-vailler, et V. A. aurait lté servie passé longtemps si M. Le Pelletier navait pointaimé mieux attendre après M. de Vauban (jue den clKirger mon père, que je peuxdire navoir pas peu conlribué à la consiructiou du pont, attendu quil était seulauprès de M. de Vaal)an lors(|iiil lui dil que M. Le Pelletier lui avait donné des. (lu , (h-dil ,|ii ^ Dc-iv MAicutr \ai- Iraïc H mm>i . d\i|jiiS les ilc--iii- de ^rMll^l. mesures pour faire un poiil à hasiule piiur V. A., et chargea eu même temps monI)ère de le faire faire et de suivre les mêmes proportions que celles des ponts (juilavait faits à la citadelle de Lille et à Menin, dont il était fort content ». Le Pelletier(?cril le (i mai suivant : « Jai fail partir les principales pièces de la machine que jailait faire en ce pays pour un ponl-levis du parc de Chantilly. Je joins à ce paquet lemémoire de ces pièces et les dessins que M. de Vauhan a fails de toute la machine,sur lesquels les ouvriers se sont réglé ». Lorsque Gilard eu! c(Uislruit le grand degré de la lerrasse du (lonnétable, Condéconsulta Le Nôtre au sujet de lornementation; le 2\ septembre 1683, Le Nôtreenvoya son projet avec la lettre suivante : « Voilii tout ce que je puis faire ])our lor-nement du bas de voire grand escali(.r; je souhaite (


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