. Études de phonétique espagnole . gne de bouche,où pour mieux montrer le mouvement du souffle le tam-bour est réglé de manière à gêner linscription du mouve-ment vibratoire, les vibrations laryngiennes se font ne représentent pas le frottement du souffle à tra-vers larticulation, on le voit en comparant le tracé avec lafigure 106. Dans kvija (fig. 107), le son est à moitiésonore. Il faut admettre quil y a là un / sonore, mais il nest pasmoins vrai quil est très rare. M. Wulff, dans son « Chapitrede phonétique andalouse », nen parle pas et il faudrait étu-dier avec soin ce diale


. Études de phonétique espagnole . gne de bouche,où pour mieux montrer le mouvement du souffle le tam-bour est réglé de manière à gêner linscription du mouve-ment vibratoire, les vibrations laryngiennes se font ne représentent pas le frottement du souffle à tra-vers larticulation, on le voit en comparant le tracé avec lafigure 106. Dans kvija (fig. 107), le son est à moitiésonore. Il faut admettre quil y a là un / sonore, mais il nest pasmoins vrai quil est très rare. M. Wulff, dans son « Chapitrede phonétique andalouse », nen parle pas et il faudrait étu-dier avec soin ce dialecte pour préciser la nature de ce son. — I09 CHAPITRE IV LES LIQUIDES r r r Pour mieux comprendre lr espagnole il faut commencerpar létude du souffle. Quand on compare lr finale 3etcuthlar (fig. 36) avec celle de llovi^nar (fig. 88), on verraque ce sont deux types fort divers. Le même tait se voitplus clairement en comparant le rr de la figure 62 avec lrde segiiro (fig. 109). Dans les uns on distinguera une r. Fig. 109. roulée; chez les autres, une ;? fricative qui est formée parlélévation de la langue vers la position de r roulée, maissans que la pointe entre en vibration, comme nous le ver-rons plus loin. La variété roulée peut avoir un ou plusieursbattements, qui sont plus ou moins apparents dans les tra- I. Ou eiiipennlor (^fig. 178) et //;//^/v/(fig. 185). — I 10 — ces, selon Tarticulation ferme ou relâchée quils reç dabord la fricative. Dans la figure 36 il est clair que la plus grande partie duson est sourde. Les vibrations laryngiennes cessent pendantque la langue sélève pour larticulation plus fermée, etpendant que cette position est gardée lair qui passe à tra-vers est sourd. On peut comparer ce tracé avec celui deestreche:^ (fig. 42) pour juger de la ressemblance entre lesdeux finales sourdes. Même lorsque IV finale est roulée,comme dans les figures 25 et 50, les vibrations sont trèsfaibles, ou cessent to


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