Alphabet du piégeage . ©formation des f/rijles chez le blaireau, surtoutaux membres qui ne portent quaccidentellement où lapression des doigts internes, à lexclusion des autres, pro-voque une exagération de la griffe de ces derniers. Leplus souvent, elle se révèle par un rejet disproportionnésous forme de[)oint; mais elle se produit aussi par un traitqui surmonte lolive, avec ou sans liaison directe à lolivemême. La raison? (lest que les muscles des doigts inac-tifs satrophient, et que le point dappui sur lextrémitéde la griffe, les force à basculer dans le sens acquis parla propulsio
Alphabet du piégeage . ©formation des f/rijles chez le blaireau, surtoutaux membres qui ne portent quaccidentellement où lapression des doigts internes, à lexclusion des autres, pro-voque une exagération de la griffe de ces derniers. Leplus souvent, elle se révèle par un rejet disproportionnésous forme de[)oint; mais elle se produit aussi par un traitqui surmonte lolive, avec ou sans liaison directe à lolivemême. La raison? (lest que les muscles des doigts inac-tifs satrophient, et que le point dappui sur lextrémitéde la griffe, les force à basculer dans le sens acquis parla propulsion ; y Lempreinte rythmée. Si lun des membres est restéankylosé, non seulement la voie le témoigne par la dis-tance des piquets, mais, les ongles, ou une partie dumembre blessé, portent régulièrement, à certains tempsde la cadence. Les allures dassurance sont immuables. Tous lesrenards, toutes les loutres, tous les blaireaux, en tant(piindividus normaux, trottent ou galopent respective-ment de la même faç ....En voie de bon temps. »(Dessin inédit de L. Comte.) 126 ALPHABET DU PIEGEAGE Quant à la soi-disant allure deffroi, il est fantaisisteden donner le schéma. Leffroi ne comporte pas que la volonté de fuir rai)ide-ment, il comporte aussi une incoordination des mouve-ments, justifiée par lexagération et le raccourci des allu-res en présence des obstacles, et nombreux ils sont,notamment au bois et dans les roseaux ou marécages,surtout pour des animaux comme loutre et blaireau. Nesont-ils pas respectivement plus aptes à nag-er et à terras-ser quà courir? Disons bonnement que leffroi se traduitassez exactement, par laction subite et exag-érée des ongles,la glissade de la molette, lécartementdes olives, qui cher-chent à donner au corps les plus solides points aux voies rationnelles deffroi, à cadence ryth-mée,en raison directe de lintensité de la frayeur, javoue,pour ma pa
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