Mariage de demain : [Dajan-Phinn] . r les gré-vistes, sétaient présentés tout de même,mais en si petit nombre quil navait pules employer. Alors, il avait bouclé lusi-ne, tout bonnement. Parbleu, cétait toujours la même his-toire. Une poignée de meneurs, de fortestêtes, avait dû fomenter la grève. Le trou- MAIilAGE DE DEMAIN U ïiiiImm i]<- \ .1 it que suivre. Oh! C( ;.« n i du di< at il le i oniait il . pu « it ni El il m i- eu] qui . pu eni ii i ligna de la il il brûlaitnommer Saffie. n en fut ret( nu peu la? m c de feanne — enfin, ils ont, ils < roien


Mariage de demain : [Dajan-Phinn] . r les gré-vistes, sétaient présentés tout de même,mais en si petit nombre quil navait pules employer. Alors, il avait bouclé lusi-ne, tout bonnement. Parbleu, cétait toujours la même his-toire. Une poignée de meneurs, de fortestêtes, avait dû fomenter la grève. Le trou- MAIilAGE DE DEMAIN U ïiiiImm i]<- \ .1 it que suivre. Oh! C( ;.« n i du di< at il le i oniait il . pu « it ni El il m i- eu] qui . pu eni ii i ligna de la il il brûlaitnommer Saffie. n en fut ret( nu peu la? m c de feanne — enfin, ils ont, ils < roient avoirraison - demanda l ^éon. l .mu, [as en oi né me leafaire i onnatti e i e| endant, je les entre-vois. , [avais trop de liais pource que javais de Jai dû ren-voyer quelques ouvriers, la quinzaine der-nière. Mai mon droit, que diable! Loncle ne disait pas toute la vérité.Léon ne devait la découvrir que peuà peu, dans là suite des jours. Au fond —. — MAIS CEST MON DROIT, QUE DIABLE et par là V >hes se liaient litement — Y«oiip enter ses béné i Dabord pour se Libérer plus tôt de la lourde bypothi< ont • t qui | ur lui, sur Lusine <-t qui l m « omme un peut en aritable de de chacun des liens, sur la pan é< ornée quils luiavaient la Il oubliait de dire encore que les i quel-ques i ouvriers congédiés étaient unecinquantain il omettait égalent davouer qu<-, dans un mouvement de ran-cune quil jugeait légitime et de bonneguerre, il les avait choisis parmi les syn-diqués. Des jours traînèrent. Loncle ne déco-lérait pas. Il fallait lentendre raconterses entrevues avec le comité de la grève,— car il y avait un comité de la grève,avec un président, un cétait àse tordre, — où le menu des revendica-tions sallongeait chaque fois, saugmen-tait dexigences nouvelles, mais gardaittoujours comme gros morceau, commepièce de résistance, la rentrée des ou-vriers congédiés. Ah! il nava


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