. La Lecture. nous sortait pour se rendre compte ^allées et venues do la sentinelle, assez éloignée de lapalissaui!.Mlle se rapprochait |)lutôt du bastion en frappant fortenioiit terre do ses pieds lourds. Quand léclaireur rentrait, RenaudFacebender attendaient anxieusement son ajipréciation : — Lohs-curité estparfaite, di-sait-il. (aira ! Les fu-tni» éxadésriaient sansentrain, neparlant pres-que pas, ar-jrêtés, anni-hilés par (Md ( I) a lt siproche. A n 0 ;encouragenuMits, à neefforts pou!c^ détourncrdudoutfilshochaierla tcte avCiu n f a iblsourire Ôi\yeux; il |les autreprisonni


. La Lecture. nous sortait pour se rendre compte ^allées et venues do la sentinelle, assez éloignée de lapalissaui!.Mlle se rapprochait |)lutôt du bastion en frappant fortenioiit terre do ses pieds lourds. Quand léclaireur rentrait, RenaudFacebender attendaient anxieusement son ajipréciation : — Lohs-curité estparfaite, di-sait-il. (aira ! Les fu-tni» éxadésriaient sansentrain, neparlant pres-que pas, ar-jrêtés, anni-hilés par (Md ( I) a lt siproche. A n 0 ;encouragenuMits, à neefforts pou!c^ détourncrdudoutfilshochaierla tcte avCiu n f a iblsourire Ôi\yeux; il |les autreprisonniers devaient deviner leur projet. Et ils rappelaient larWtation de Fîernard. Huit heures allaient sonner; il fallut sapprêter. Uenaud sortit disorètcmfMit le |)r(Mnier, je le suivis, puis Faéi bender et trois autres camarades alsaiîiens vinrent nous rejoindr] Tandis que deux se faufilaient vers la palissade, deux aUtÉj simulant une promenade du côté opposé, la ci/rantte à la boudbl. Los cltiix sous-offifiers pusanl un piod sur nos mains. riu, 1 SOUVENIRS DUN PRISONNIER DE GFERRE 201 e dirigèrent vers le factionnaire, étonné dabord, mais qui engagea?ientôtla conversation avec les Alsaciens. Successivement, Renaudt Facebender arrivaient, en se baissant, à lendroit à escalader,)endant que les autres usaient du stratagème qui avait servi àévasion de Bernard et qui réussit encore parfaitement cette fois. Auout de cinqiiinutes, le^eux sous-fficiers, po-int un pied• u r u 0 slains ser-ant détrierélever en i11 haut d<L clôture et )mbèrentm s bruitans Ten-3in te deirsenal. Le lende-aîn, dansforteresse,irent lieumômesécautions,même dé-)Uemen tle [)()iire r n a r d .aant aux •du., évadés, ,1s f„ren. euRa^és a,, e„ dovo lan. ffe des Prussiens. „ L, l,..u gar,oM u, disai, il en un vé d s,neer„é..K. il -Uù ...lai, .le savoi,- .i ,,. ,„„ „„,^\ eiissiiaieiK,


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