. Annales des sciences naturelles. arquable (fig. 13). Nous avons vu quecette dureté et celte homogénéité atteigneut un degré encoreplus considérable chez lOkapi (1). du Sénégal viennent probablement de rilinterland de ce pays ou de régionsplus ou moins voisines, pour lesquelles la seule sous-espèce portée sur la cartede M. Lydekker (On the subsperies of Giraffa camelopardulis P. Z. S., 1904,1, p. 204) est la peralta Tiios, très voisine de la girafe de Nubie {G. c. typica).(1) M. DE Rothschild et H. Neuvuxe. Recherches sur Premièrepartie. Ann. , 1910, 9^sér. t. X., pp. 56 e


. Annales des sciences naturelles. arquable (fig. 13). Nous avons vu quecette dureté et celte homogénéité atteigneut un degré encoreplus considérable chez lOkapi (1). du Sénégal viennent probablement de rilinterland de ce pays ou de régionsplus ou moins voisines, pour lesquelles la seule sous-espèce portée sur la cartede M. Lydekker (On the subsperies of Giraffa camelopardulis P. Z. S., 1904,1, p. 204) est la peralta Tiios, très voisine de la girafe de Nubie {G. c. typica).(1) M. DE Rothschild et H. Neuvuxe. Recherches sur Premièrepartie. Ann. , 1910, 9^sér. t. X., pp. 56 et suiv. PI. V et VI. RECHERCHES SUR LES GIRAFES 00 Ajoutons que la structure ainsi réalisée chez les femelles etles jeunes nest pas sans rappeler de très près celle de la che-ville osseuse des Cavicornes surtout si lon considère lextré-mité de celle-ci, où la structure largement aréolaire, avec untissu plus compact à la périphérie (1), fait place à une textureassez finement spongieuse (fig. 13 C et 1(3).. Fig. 13. — Girafe du Cap, d. Partie postéro-supérieure du crâne. Remarquer la faiblesaillie de la pyramide, la structure de la corne principale, sectionnée longitudina-lement, et les exostoses occipitales. (Collections dAnatomie comparée du Muséumde Paris : n A. 7977.) La comparaison des coupes représentées sur la fig. 13 rendraévidente cette ressemblance. De même que les bois des Cerfs, les cornes des Girafes nesont jamais parfaitement symétriques; elles portent fréquem-ment, en outre, des excroissances accentuant leur asymétriede direction. Pariétal. — Le pariétal émet un prolongement aigu, savan- (1 Première partie, p. 64, 50 MAURICE DE ROTHSCHILD ET HENRI NEUVILLE çant très loin, à la manière dun coin, dans la fosse temporale,jusquà la limite antérieure de celle-ci, et séparant sa partiefrontale de sa partie temporale proprement dite. Sa pointe peutatteindre la crête orbito-temporale de lali-spliénoïde, à labride l


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