Étrennes lyriques anacréontiques pour l'année 1784 . fe mit à rire ; Oui, oui, Colin, •T Tu prouves bien, Quen amour on peut aifémcnt^aire laveu le plus charmant,Sa^is dire rka. A N O N IM Bm (4 Étrkhkes ÉLOGE D M R I s, A 1 R : Je It :icr,i ce nid de Féuvttte, À jLujouRDjiuiplys de tendres Preux c(l fou par Tes langeurs^U laut le brûler, C3r les DamesEn le lifant ont des les rniHivcs difcrettes,Les métaphyfiques jeux damour font des blucttcs,Lcfprit feul cmlamme les coeurs, Ali ! quel ennui, difcnt nos Belles,De foupircr fous des ormeaux,Toujours des Be


Étrennes lyriques anacréontiques pour l'année 1784 . fe mit à rire ; Oui, oui, Colin, •T Tu prouves bien, Quen amour on peut aifémcnt^aire laveu le plus charmant,Sa^is dire rka. A N O N IM Bm (4 Étrkhkes ÉLOGE D M R I s, A 1 R : Je It :icr,i ce nid de Féuvttte, À jLujouRDjiuiplys de tendres Preux c(l fou par Tes langeurs^U laut le brûler, C3r les DamesEn le lifant ont des les rniHivcs difcrettes,Les métaphyfiques jeux damour font des blucttcs,Lcfprit feul cmlamme les coeurs, Ali ! quel ennui, difcnt nos Belles,De foupircr fous des ormeaux,Toujours des Bergcrc* cruelle*Et des rcr;dci-vous tendreffc cft bannie ;La mode en détede remploi;Lhomme limplc Se fonfible ennuie,Dun cercle le fat çd le rgi. On veut peru^er la conitanc* ,Aimer eft laffaire dun goûts font tlans la convenanc* jLintérêt eft le Dieu ne voit querreur , impofture ,Jufquaax charmes de nos gémis à cette loublier près dIris, Par M. Courtois de Lo^rcvioif,. CiT je trREVNEf t< ? ??? .ICjS^.êjljl-1 .-u-i)4 LÉPREUVE DE LA ROSE. A I X 1 Dun Bouquet éLa terre sépanouit Sous les pas et Florr, £11; parcourt, au mati^. Son riant éphire tendre ÏBc badin, Prci delle *: g«s amouicufes fleurs,Quelles brillantes couleurtlQuelles fuaves odeurs pans loiT quoo rçfpirc ! i T E I Q U E f. JT, yiens, Lucile, allons cueillir Le bouton de fleur au gré du defir Eft à peine é, pardonne fi ma maiaSe trompe dans fon rofes quoffre ton fein En feront la cauâe. jCouronne-t-elle un amant Difcret & fidèle ?i^a rofe, comme en naiflant. Paraît toujours belle ;Sur le front dun fe fane à linftant,Et fon volage penchant Eft trahi par elle* ï-ucile, confultetoi. Nes-tu point parjure?Viens, approch


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